« Les communautés touchées par la crise ont besoin de toute urgence d'une aide alimentaire, de protection, de services de santé, d'assainissement et d'eau salubre », indique un communiqué de presse de l'OCHA qui fait aussi état de nombreuses violations des droits de l'homme dans le pays.
« Les efforts humanitaires sont compliqués par l'insécurité et l'accès limité aux populations ayant besoin d'aide », affirme l'OCHA en appelant les parties prenantes à faciliter l'accès des travailleurs humanitaires aux communautés touchées.
La semaine dernière, près de 40.000 personnes ont fui le pays. Mardi, le chef du Bureau intégré des Nations Unies en République centrafricaine (BINUCA), Margaret Vogt, a expliqué au Conseil de sécurité qu'un retour à la normale était d'une importance cruciale.
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) estime que l'ensemble de la population centrafricaine – soit 4,6 millions de personnes, dont 2,3 millions d'enfants –, sont directement touchées par le conflit en raison de l'interruption des services et du maintien de l'ordre dans le pays. Les agences onusiennes ont vu également leurs locaux et bureaux pillés.
« Les efforts humanitaires sont compliqués par l'insécurité et l'accès limité aux populations ayant besoin d'aide », affirme l'OCHA en appelant les parties prenantes à faciliter l'accès des travailleurs humanitaires aux communautés touchées.
La semaine dernière, près de 40.000 personnes ont fui le pays. Mardi, le chef du Bureau intégré des Nations Unies en République centrafricaine (BINUCA), Margaret Vogt, a expliqué au Conseil de sécurité qu'un retour à la normale était d'une importance cruciale.
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) estime que l'ensemble de la population centrafricaine – soit 4,6 millions de personnes, dont 2,3 millions d'enfants –, sont directement touchées par le conflit en raison de l'interruption des services et du maintien de l'ordre dans le pays. Les agences onusiennes ont vu également leurs locaux et bureaux pillés.