Cette campagne qui vient de commencer a pour objectif d’étendre la communication autour de la révision de la liste électorale afin de permettre à tout le monde de s’inscrire sur le nouveau fichier, par ailleurs élaguer les morts en y ajoutant les jeunes qui ont atteint l’âge de 18 ans.
A l’ouverture de la dite cérémonie, Monsieur Mathias Barthélemy Morouba s’est exprimé en langue Sango pour permettre à l’assistance de tout bord de comprendre l’ampleur du message que son Institution véhicule depuis lors.
Cette première campagne de sensibilisation a d’abord visé les leaders des associations féminines, ceux des plates-formes de la jeunesse, des handicapés, des autochtones et des albinos d’après les propos de Maitre Mathias Morouba.
Selon lui, cette catégorie de la population est souvent mal informée du processus électoral, d’où nécessité de les tenir directement au courant des échéances à venir.
Il s’est appesanti longuement sur la candidature féminine qui demeure encore embryonnaire au vu des autres élections et a demandé aux femmes de s’inscrire massivement sur cette liste.
« L’inscription sur la liste électorale est la première formalité que doit effectuer tout citoyen pour prétendre être candidat ou électeur » a-t-il souligné.
Il est à noter que parmi l’assistance, plusieurs voix se sont levées, surtout du côté des femmes leaders, pour solliciter de la part de l’institution un appui multiforme afin de favoriser la candidature des femmes aux prochaines élections locales.
Les inscriptions sur la liste électorale posent un certain nombre des conditions à remplir pour certaines femmes dans l’arrière-pays, le manque de moyen financier et l’inexistence des structures de l’Etat dans certains villages pouvant délivrer des documents autorisés par l’Autorité nationale des élections(ANE) restent un handicap pour certaines potentielles candidates a fait savoir une membre de l’Association des femmes centrafricaines.
« L’ANE est une institution indépendante, elle se confie à ses prorogatifs. Elle recommande fortement des mesures visant à faciliter l’inscription de tout le monde en âge de voter, et pour des personnes vivant avec handicap ou vulnérables, les aider et les assister à remplir leur devoir citoyen » a répliqué le Président de l’Autorité nationale des élections(ANE).
Et que les pièces à fournir sont entre autre la carte d’identité nationale, le passeport, le livret militaire, le livret de pension, l’acte de naissance et la carte consulaire pour ceux qui vivent à l’étranger a-t-il ajouté.
Les prochaines échéances électorales du mois d’octobre ‘s’annoncent donc, l’égale de parité entre homme et femme dans le choix de vote, un homme une femme sera –t-il comprit par tout électeur ? C’est la question qu’on se pose.
A l’ouverture de la dite cérémonie, Monsieur Mathias Barthélemy Morouba s’est exprimé en langue Sango pour permettre à l’assistance de tout bord de comprendre l’ampleur du message que son Institution véhicule depuis lors.
Cette première campagne de sensibilisation a d’abord visé les leaders des associations féminines, ceux des plates-formes de la jeunesse, des handicapés, des autochtones et des albinos d’après les propos de Maitre Mathias Morouba.
Selon lui, cette catégorie de la population est souvent mal informée du processus électoral, d’où nécessité de les tenir directement au courant des échéances à venir.
Il s’est appesanti longuement sur la candidature féminine qui demeure encore embryonnaire au vu des autres élections et a demandé aux femmes de s’inscrire massivement sur cette liste.
« L’inscription sur la liste électorale est la première formalité que doit effectuer tout citoyen pour prétendre être candidat ou électeur » a-t-il souligné.
Il est à noter que parmi l’assistance, plusieurs voix se sont levées, surtout du côté des femmes leaders, pour solliciter de la part de l’institution un appui multiforme afin de favoriser la candidature des femmes aux prochaines élections locales.
Les inscriptions sur la liste électorale posent un certain nombre des conditions à remplir pour certaines femmes dans l’arrière-pays, le manque de moyen financier et l’inexistence des structures de l’Etat dans certains villages pouvant délivrer des documents autorisés par l’Autorité nationale des élections(ANE) restent un handicap pour certaines potentielles candidates a fait savoir une membre de l’Association des femmes centrafricaines.
« L’ANE est une institution indépendante, elle se confie à ses prorogatifs. Elle recommande fortement des mesures visant à faciliter l’inscription de tout le monde en âge de voter, et pour des personnes vivant avec handicap ou vulnérables, les aider et les assister à remplir leur devoir citoyen » a répliqué le Président de l’Autorité nationale des élections(ANE).
Et que les pièces à fournir sont entre autre la carte d’identité nationale, le passeport, le livret militaire, le livret de pension, l’acte de naissance et la carte consulaire pour ceux qui vivent à l’étranger a-t-il ajouté.
Les prochaines échéances électorales du mois d’octobre ‘s’annoncent donc, l’égale de parité entre homme et femme dans le choix de vote, un homme une femme sera –t-il comprit par tout électeur ? C’est la question qu’on se pose.