Le Premier-ministre Firmin Ngrébada (archives ACAP)
Le président de l’Assemblée nationale, El Hadj Moussa Laurent Ngon-Baba, a expliqué que les élus de la nation ont adressé leurs encouragements aux différents groupes armés qui commencent à prendre conscience des souffrances endurées par les populations centrafricaines en condamnant les auteurs des violences de ces dernières semaines.
Le Premier-ministre Firmin Ngrébada a, quant à lui, indiqué que durant cette séance de questions/réponses, il a essayé de faire le rappel des faits pour l’information des députés et du peuple centrafricain.
L’occasion lui a permis d’informer les députés sur un certain nombre de mesures prises par le gouvernement, notamment l’envoi d’une mission gouvernementale dans les localités affectées, a-t-il souligné.
« Deuxièmement, nous avons mis en place, sous l’autorité du président de la République, une veille à la primature pour qu’à l’avenir, des situations similaires soient bien gérées et surtout dans les domaines de la prévention », a-t-il poursuivi.
Bien avant cela, le Président Faustin Archange Touadéra avait décrété 3 jours de deuil national en la mémoire de ces victimes, a rappelé le chef du gouvernement.
Selon lui, le gouvernement et la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) exigent qu’au-delà des 3 présumés auteurs arrêtés, le chef du mouvement Retour Réclamation, Réhabilitation (RRR), Sidiki Abass, livre à la justice les autres auteurs et complices des tueries de Paoua pour qu’il y ait toute la vérité sur les raisons de ces massacres.
Pour le reste, le gouvernement s’engage à assurer la sécurité de la population et à ne pas laisser impunis ces crimes.
L’interpellation du gouvernement par l’Assemblée nationale intervient une semaine après la mort d’au moins 34 civils, dont le suppléant du député de Paoua 1, dans des tueries perpétrées dans plusieurs villages proches de Paoua par des hommes armées appartenant au mouvement RRR de Sidiki Abass.
Suite à ces violences, le gouvernement a donné 72 heures à Sidiki Abass pour livrer les auteurs de ces crimes et démanteler les bases et les barrières établies par ses hommes dans la région de Paoua, proche de la frontière avec le Cameroun.
Le Premier-ministre Firmin Ngrébada a, quant à lui, indiqué que durant cette séance de questions/réponses, il a essayé de faire le rappel des faits pour l’information des députés et du peuple centrafricain.
L’occasion lui a permis d’informer les députés sur un certain nombre de mesures prises par le gouvernement, notamment l’envoi d’une mission gouvernementale dans les localités affectées, a-t-il souligné.
« Deuxièmement, nous avons mis en place, sous l’autorité du président de la République, une veille à la primature pour qu’à l’avenir, des situations similaires soient bien gérées et surtout dans les domaines de la prévention », a-t-il poursuivi.
Bien avant cela, le Président Faustin Archange Touadéra avait décrété 3 jours de deuil national en la mémoire de ces victimes, a rappelé le chef du gouvernement.
Selon lui, le gouvernement et la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) exigent qu’au-delà des 3 présumés auteurs arrêtés, le chef du mouvement Retour Réclamation, Réhabilitation (RRR), Sidiki Abass, livre à la justice les autres auteurs et complices des tueries de Paoua pour qu’il y ait toute la vérité sur les raisons de ces massacres.
Pour le reste, le gouvernement s’engage à assurer la sécurité de la population et à ne pas laisser impunis ces crimes.
L’interpellation du gouvernement par l’Assemblée nationale intervient une semaine après la mort d’au moins 34 civils, dont le suppléant du député de Paoua 1, dans des tueries perpétrées dans plusieurs villages proches de Paoua par des hommes armées appartenant au mouvement RRR de Sidiki Abass.
Suite à ces violences, le gouvernement a donné 72 heures à Sidiki Abass pour livrer les auteurs de ces crimes et démanteler les bases et les barrières établies par ses hommes dans la région de Paoua, proche de la frontière avec le Cameroun.