Samuela Isopi lors de sa visite à la prison de Ngaragba
L’Ambassadrice Samuela Isopi a expliqué que cette visite fait suite à celle effectuée la semaine dernière au centre opérationnel commun et à la chancellerie dans le cadre de la réhabilitation des secteurs de la justice et de la police (RESEJEP).
Elle a souligné qu’un partenaire ne doit pas simplement mobiliser des ressources, mais avoir une expertise pour pouvoir venir en aide au gouvernement.
Samuela Isopi a noté qu’au terme de sa visite dans les deux centres pénitentiaires, elle a identifié un certain nombre de sujets sensibles qu’elle pourra évoquer dans ses rencontres avec le gouvernement, notamment la question de la nourriture, de l’assistance sanitaire, voire des enfants des détenues non pris en charge par l’Etat.
"En terme d’appui, on a fait des interventions, l’infirmerie, beaucoup de formation et on est ici pour voir ce qu’on peut faire à l’avenir dans le cadre du nouveau programme de l’Union Européenne", a-t-elle poursuivi.
Selon elle, il va falloir que tous les partenaires puissent mutualiser leurs efforts en vue d’appuyer le gouvernement dans sa gestion des maisons carcérales.
Elle a rassuré les régisseurs desdits centres que leurs doléances seront portées sur la table des négociations avec le gouvernement.
Le Chef de l’équipe du RESEJEP, Livio Grazotto, a, pour sa part, estimé le coût des travaux de réhabilitation dans lesdits centres à 300 milles euros, dont 260 milles euros pour la prison de Ngaragba.
Il a spécifié que les travaux effectués sont entre autres les murs entourés de fils barbelés, la construction des parloirs ainsi que les équipements des deux infirmeries.
Il convient de rappeler que les conditions d’existence des détenus dans les maisons d’arrêt de Bimbo sont nettement mieux que dans les prisons de Ngaragba à cause de sa surpopulation.
Elle a souligné qu’un partenaire ne doit pas simplement mobiliser des ressources, mais avoir une expertise pour pouvoir venir en aide au gouvernement.
Samuela Isopi a noté qu’au terme de sa visite dans les deux centres pénitentiaires, elle a identifié un certain nombre de sujets sensibles qu’elle pourra évoquer dans ses rencontres avec le gouvernement, notamment la question de la nourriture, de l’assistance sanitaire, voire des enfants des détenues non pris en charge par l’Etat.
"En terme d’appui, on a fait des interventions, l’infirmerie, beaucoup de formation et on est ici pour voir ce qu’on peut faire à l’avenir dans le cadre du nouveau programme de l’Union Européenne", a-t-elle poursuivi.
Selon elle, il va falloir que tous les partenaires puissent mutualiser leurs efforts en vue d’appuyer le gouvernement dans sa gestion des maisons carcérales.
Elle a rassuré les régisseurs desdits centres que leurs doléances seront portées sur la table des négociations avec le gouvernement.
Le Chef de l’équipe du RESEJEP, Livio Grazotto, a, pour sa part, estimé le coût des travaux de réhabilitation dans lesdits centres à 300 milles euros, dont 260 milles euros pour la prison de Ngaragba.
Il a spécifié que les travaux effectués sont entre autres les murs entourés de fils barbelés, la construction des parloirs ainsi que les équipements des deux infirmeries.
Il convient de rappeler que les conditions d’existence des détenus dans les maisons d’arrêt de Bimbo sont nettement mieux que dans les prisons de Ngaragba à cause de sa surpopulation.