Cette conférence de presse a donné l’occasion au Président de l’Autorité Nationale des Elections (ANE), Mathias Barthelemy Morouba de faire le point sur les grandes activités réalisées par son institution et aussi de présenter les perspectives d’avenir, les défis à relever et aussi rappeler le bilan des scrutins de l’année 2021.
Le Président de l’ANE a rappelé que l’année 2021 a été pour l’ANE une période sensible du fait de la succession des scrutins organisés, alors qu’il était prévu juste deux tours à savoir celui du 27 Décembre 2020 et celui du mois de mars 2021. Ajouté au mois de mars, des partielles du de mai et celles de juillet 2021.
« Ces élections nous ont été imposées par l’insécurité qui a représenté une menace majeure pour toute la République. Mais nous avons fait des efforts avec l’appui du gouvernement et des partenaires pour mener à bien ce processus », a souligné Mathias Barthelemy Morouba.
Il a par ailleurs rappelé qu’à ce jour, la République Centrafricaine a un Président de la République démocratiquement élu, et une Assemblée Nationale composée de 140 élus dont 18 femmes.
Pour les perspectives, le Président de l’ANE a précisé que les élections locales et régionales ainsi que sénatoriales sont dans le programme de l’ANE pour le compte de cette année 2022.
Il a félicité le gouvernement pour son appui qui s’est élevé à plus d’un milliards et demi de F.CFA et qui continu de travailler auprès des partenaires pour mobiliser les moyens, afin de mener à bien le processus des élections locales et municipales du 11 Septembre 2022.
Pour sa part, le ministre de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et du Développement Local, Bruno Yapandé, à rassurer les professionnels des médias sur le plan intégré de sécurisation du processus électoral qui a été revu avec le concours du gouvernement et de la MINUSCA pour assurer la sécurité du processus électoral à venir.
Le Président de l’ANE a rappelé que l’année 2021 a été pour l’ANE une période sensible du fait de la succession des scrutins organisés, alors qu’il était prévu juste deux tours à savoir celui du 27 Décembre 2020 et celui du mois de mars 2021. Ajouté au mois de mars, des partielles du de mai et celles de juillet 2021.
« Ces élections nous ont été imposées par l’insécurité qui a représenté une menace majeure pour toute la République. Mais nous avons fait des efforts avec l’appui du gouvernement et des partenaires pour mener à bien ce processus », a souligné Mathias Barthelemy Morouba.
Il a par ailleurs rappelé qu’à ce jour, la République Centrafricaine a un Président de la République démocratiquement élu, et une Assemblée Nationale composée de 140 élus dont 18 femmes.
Pour les perspectives, le Président de l’ANE a précisé que les élections locales et régionales ainsi que sénatoriales sont dans le programme de l’ANE pour le compte de cette année 2022.
Il a félicité le gouvernement pour son appui qui s’est élevé à plus d’un milliards et demi de F.CFA et qui continu de travailler auprès des partenaires pour mobiliser les moyens, afin de mener à bien le processus des élections locales et municipales du 11 Septembre 2022.
Pour sa part, le ministre de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et du Développement Local, Bruno Yapandé, à rassurer les professionnels des médias sur le plan intégré de sécurisation du processus électoral qui a été revu avec le concours du gouvernement et de la MINUSCA pour assurer la sécurité du processus électoral à venir.