Premier face à face des membres du gouvernement et des leaders des groupes armés à l'Académie militaire de Khartoum
Le dialogue-inter-centrafricain de Khartoum, une initiative de l'Union africaine, vise à mettre autour d'une même table des représentants du gouvernent et des leaders des groupes armés afin de trouver une solution pérenne à la crise qui ne cesse d'endeuiller des familles centrafricaines.
"Nous devons nous entraider pour mettre fin aux conflits" a souligné M. Alderdiri, rappelant que son pays, le Soudan, venait d'offrir ses bons offices ayant permis une signature de paix le 27 août dernier, signature discutée quarante deux jours durant dans la même salle de l'Académie militaire, où des Centrafricains sont admis à leur tour pour les mêmes causes.
Dans le cas centrafricain, M. Alderdiri a rappelé les nombreuses négociations qui n'ont pas été couronnées de succès. Il se veut cette fois-ci optimiste, prenant en compte la volonté et la détermination des parties en présence dans le cadre du dialogue de mettre définitivement fin aux conflits pour parvenir réellement à la paix.
M. Alderdiri a également mis en exergue les efforts de la communauté internationale, Union africaine, Organisation des Nations Unies, les organisation sous-régionales et les pays limitrophes de la République Centrafricaine, caractérisés par la présence des ministres des Affaires étrangères desdits pays à Khartoum pour aider le pays à obtenir une paix durable.
Il a conseillé aux parties de se passer des intransigeances et de se montrer souples, avec des concessions, tout en évitant surtout de mettre en avant leurs intérêts égoïstes, contrairement à l'intérêt général, pour le bonheur d'un peuple qui a déjà trop souffert.
Il a parlé du Soudan comme étant un pays membre de l'Union africaine et voisin de la République Centrafricaine, d'où la détermination des autorités soudanaises à apporter leur contribution pour la paix en Centrafrique. Il a dit rêver que les discussions s'achèvent par un accord global de paix devant être signé très prochainement à Bangui.
Les travaux du dialogue inter-centrafricain peuvent prendre fin d'ici la fin du mois s'ils ne sont pas entravés.
Sont actuellement à Khartoum, au Soudan dans le cadre de ce dialogue inter-centrafricain qui est une initiative de l'Union africaine, des représentants de la communauté internationale, Union africain et Nations Unies, quatre membres du gouvernement centrafricain, des parlementaires, quelques leaders des partis politiques, des membres de la société civile, des représentants des médias nationaux et internationaux ainsi que des experts assurant la facilitation des pourparlers.
"Nous devons nous entraider pour mettre fin aux conflits" a souligné M. Alderdiri, rappelant que son pays, le Soudan, venait d'offrir ses bons offices ayant permis une signature de paix le 27 août dernier, signature discutée quarante deux jours durant dans la même salle de l'Académie militaire, où des Centrafricains sont admis à leur tour pour les mêmes causes.
Dans le cas centrafricain, M. Alderdiri a rappelé les nombreuses négociations qui n'ont pas été couronnées de succès. Il se veut cette fois-ci optimiste, prenant en compte la volonté et la détermination des parties en présence dans le cadre du dialogue de mettre définitivement fin aux conflits pour parvenir réellement à la paix.
M. Alderdiri a également mis en exergue les efforts de la communauté internationale, Union africaine, Organisation des Nations Unies, les organisation sous-régionales et les pays limitrophes de la République Centrafricaine, caractérisés par la présence des ministres des Affaires étrangères desdits pays à Khartoum pour aider le pays à obtenir une paix durable.
Il a conseillé aux parties de se passer des intransigeances et de se montrer souples, avec des concessions, tout en évitant surtout de mettre en avant leurs intérêts égoïstes, contrairement à l'intérêt général, pour le bonheur d'un peuple qui a déjà trop souffert.
Il a parlé du Soudan comme étant un pays membre de l'Union africaine et voisin de la République Centrafricaine, d'où la détermination des autorités soudanaises à apporter leur contribution pour la paix en Centrafrique. Il a dit rêver que les discussions s'achèvent par un accord global de paix devant être signé très prochainement à Bangui.
Les travaux du dialogue inter-centrafricain peuvent prendre fin d'ici la fin du mois s'ils ne sont pas entravés.
Sont actuellement à Khartoum, au Soudan dans le cadre de ce dialogue inter-centrafricain qui est une initiative de l'Union africaine, des représentants de la communauté internationale, Union africain et Nations Unies, quatre membres du gouvernement centrafricain, des parlementaires, quelques leaders des partis politiques, des membres de la société civile, des représentants des médias nationaux et internationaux ainsi que des experts assurant la facilitation des pourparlers.