« Je vais toujours œuvrer pour l’accès de la femme rurale aux instances de prise de décision afin qu’elle participe au processus de consolidation de la paix parce que la femme rurale continue d’être la principale victime des conflits. Elle subit les inégalités à cause de la méconnaissance de ses droits », a relevé la première dame de Centrafrique.
Elle a estimé que la célébration de la Journée Internationale de la femme permet à la femme non seulement de revendiquer ses droits mais également de s’affirmer et de réfléchir sur sa mission en passant par l’éducation des filles.
En outre, Monique Bozizé a relevé que « la place de la femme n’est pas seulement dans le gouvernement, elle peut s’épanouir dans d’autres domaines notamment la Santé, l’éducation, les Affaires et faire entendre sa voie dans la prise de décisions ».
La ministre des Affaires Sociales Bernadette Sayo a indiqué que les femmes centrafricaines continuent de vivre des inégalités malgré la résolution 1325 des Nations Unies qui souligne que « la démocratie et le développement passent nécessairement par l’égalité de sexe ».
Par ailleurs, elle a souligné que l’accès des femmes aux instances de prise de décision dépend de la capacité des femmes, car, a-t-elle relevé « il y a des femmes Centrafricaines capables qui ignorent leur capacité ».
Pendant plus de trois heures, les femmes ont été édifiées sur la consolidation de la paix ; l’accès des femmes aux instances de prise de décision, l’éducation et la formation comme voie pour un travail décent des femmes et la femme rurale au cœur de la prévention et du processus de consolidation de la paix.
Il faut rappeler que les Nations-Unies ont choisi comme thème « l’égalité d’accès à l’éducation, dans le domaine de formation, de la science et de la technologie : voie pour un travail décent des femmes».
Notons que la République Centrafricaine a célébré la journée sur le thème «Consolidation de la paix et accès de la femme aux instances de prise de décision ».
Elle a estimé que la célébration de la Journée Internationale de la femme permet à la femme non seulement de revendiquer ses droits mais également de s’affirmer et de réfléchir sur sa mission en passant par l’éducation des filles.
En outre, Monique Bozizé a relevé que « la place de la femme n’est pas seulement dans le gouvernement, elle peut s’épanouir dans d’autres domaines notamment la Santé, l’éducation, les Affaires et faire entendre sa voie dans la prise de décisions ».
La ministre des Affaires Sociales Bernadette Sayo a indiqué que les femmes centrafricaines continuent de vivre des inégalités malgré la résolution 1325 des Nations Unies qui souligne que « la démocratie et le développement passent nécessairement par l’égalité de sexe ».
Par ailleurs, elle a souligné que l’accès des femmes aux instances de prise de décision dépend de la capacité des femmes, car, a-t-elle relevé « il y a des femmes Centrafricaines capables qui ignorent leur capacité ».
Pendant plus de trois heures, les femmes ont été édifiées sur la consolidation de la paix ; l’accès des femmes aux instances de prise de décision, l’éducation et la formation comme voie pour un travail décent des femmes et la femme rurale au cœur de la prévention et du processus de consolidation de la paix.
Il faut rappeler que les Nations-Unies ont choisi comme thème « l’égalité d’accès à l’éducation, dans le domaine de formation, de la science et de la technologie : voie pour un travail décent des femmes».
Notons que la République Centrafricaine a célébré la journée sur le thème «Consolidation de la paix et accès de la femme aux instances de prise de décision ».