L’objet de cet entretien est de faire l’état de lieu et de donner l’opportunité aux Centrafricains de se prononcer sur la situation de la RCA à quelques jours des festivités du 1er décembre 2016.
Selon Joël Mouko la réjouissance populaire de la fête nationale va se limiter seulement à la capitale Bangui, et ses environs.
« Certaines grandes préfectures de nos provinces comme Bambari, Kaga-Bandoro, Ndélé et autres, sont encore sous la pression des éléments des ex-séléka, réputés dans la violence, les violes et les assassinats sommaires », a souligné le notable qui assure l’intérim du chef du quartier.
« C’est une question de souveraineté pour la République Centrafricaine qui a acquis sa liberté aux prix de nombreux sacrifices », a ajouté Joël Mouko.
Le souhait de tous les Centrafricains, « est de voir tous les fils et toutes les filles de Centrafrique célébrer dans l’enthousiasme la fête nationale le même jour et non en différée pour certaines villes» a-t-il conclu.
Selon Joël Mouko la réjouissance populaire de la fête nationale va se limiter seulement à la capitale Bangui, et ses environs.
« Certaines grandes préfectures de nos provinces comme Bambari, Kaga-Bandoro, Ndélé et autres, sont encore sous la pression des éléments des ex-séléka, réputés dans la violence, les violes et les assassinats sommaires », a souligné le notable qui assure l’intérim du chef du quartier.
« C’est une question de souveraineté pour la République Centrafricaine qui a acquis sa liberté aux prix de nombreux sacrifices », a ajouté Joël Mouko.
Le souhait de tous les Centrafricains, « est de voir tous les fils et toutes les filles de Centrafrique célébrer dans l’enthousiasme la fête nationale le même jour et non en différée pour certaines villes» a-t-il conclu.