Lors de cet exercice de contrôle des actions du gouvernement par le parlement, des questions relatives aux attributions illicites de terrain et de construction anarchique des maisons; du plan directeur d’urbanisation des villes, de la réhabilitation ou de la construction du building administratif, des ouvrages d’arts reliant les villes de l’arrière-pays et du projet de la Cité Lumière ont été adressées au ministre Pascal Koyamene.
De manière ramassée, le ministre de l’Urbanisme et de la Reconstruction des Edifices Publics, Pascal Koyamene a expliqué aux élus de la nation que : «Le gouvernement centrafricain, par le truchement des services de cadastre ne vend pas de terrain aux particuliers».
«En outre, il perçoit, des taxes d’équipement provenant du morcèlement de ces terrains. C’est ce qui permet au Fonds d’Aménagement et d’Equipement Urbain (FAEU) d’entreprendre un certain nombre de travaux de réhabilitation des édifices publics et des ouvrages d’arts tant à Bangui qu’en provinces » a ajouté le membre du gouvernement.
S’agissant de la dégradation des routes, Le ministre Pascal Koyamene a fait savoir que, leurs entretiens nécessitent de gros moyens. Surtout que notre pays n’exporte rien sur le marché international. Il ne fonctionne que grâce aux recettes fiscalo-douanières. Il ne dépend que de l’appui des partenaires au développement dont les fonds ont servi à la construction des collecteurs des eaux de pluie ou usées.
Selon lui, le 10ème Fonds Européen de Développement (FED) a déjà dégagé des moyens pour la réhabilitation du pont des Castors. Il est entrain de mobiliser des ressources pour le pont de Langbashi. La population ne sera informée du démarrage des travaux qu’au moment opportun.
Enfin le ministre Pascal Koyamene a rassuré les députés que les réformes du secteur foncier dans notre pays est plus que jamais d’actualité. Car, le département entend organiser très prochainement un atelier de validation sur la question.
Rappelons que l’interpellation du ministre Pascal Koyamene a été reportée à plusieurs reprises.
De manière ramassée, le ministre de l’Urbanisme et de la Reconstruction des Edifices Publics, Pascal Koyamene a expliqué aux élus de la nation que : «Le gouvernement centrafricain, par le truchement des services de cadastre ne vend pas de terrain aux particuliers».
«En outre, il perçoit, des taxes d’équipement provenant du morcèlement de ces terrains. C’est ce qui permet au Fonds d’Aménagement et d’Equipement Urbain (FAEU) d’entreprendre un certain nombre de travaux de réhabilitation des édifices publics et des ouvrages d’arts tant à Bangui qu’en provinces » a ajouté le membre du gouvernement.
S’agissant de la dégradation des routes, Le ministre Pascal Koyamene a fait savoir que, leurs entretiens nécessitent de gros moyens. Surtout que notre pays n’exporte rien sur le marché international. Il ne fonctionne que grâce aux recettes fiscalo-douanières. Il ne dépend que de l’appui des partenaires au développement dont les fonds ont servi à la construction des collecteurs des eaux de pluie ou usées.
Selon lui, le 10ème Fonds Européen de Développement (FED) a déjà dégagé des moyens pour la réhabilitation du pont des Castors. Il est entrain de mobiliser des ressources pour le pont de Langbashi. La population ne sera informée du démarrage des travaux qu’au moment opportun.
Enfin le ministre Pascal Koyamene a rassuré les députés que les réformes du secteur foncier dans notre pays est plus que jamais d’actualité. Car, le département entend organiser très prochainement un atelier de validation sur la question.
Rappelons que l’interpellation du ministre Pascal Koyamene a été reportée à plusieurs reprises.