Cette interpellation a permis au chef du gouvernement de donner des éclaircissements sur le plan de sécurisation intégré des élections générales et d’apporter quelques éléments de réponse appropriée aux préoccupations des élus du peuple.
Le Premier ministre a indiqué que le plan de sécurisation est un document qui a été conçu et élaboré par le gouvernement, la MINUSCA et l’EUTM. Ce document répond à certaines menaces qui sont identifiées aux plans politique, sécuritaire, de la logistique et qui risquent de compromettre le bon déroulement du processus électoral.
« Il s’agit d’une disposition qui a été prise pour assurer au mieux le bon déroulement du processus électoral », a soutenu Firmin Ngrébada.
Le chef du gouvernement a expliqué que ce plan de sécurisation intégré des élections a des organes qui assurent la coordination, un comité stratégique présidé par le Premier ministre assisté du Représentant spécial du Secrétaire général des nations Unies, un comité national qui assure le suivi, et aux niveaux des préfectures, des comités préfectoraux et sous préfectoraux de mise en œuvre de ce plan de sécurisation des élections.
« Dans ce plan de sécurisation, il est prévu d’assurer la sécurité des agents de l’Autorité nationale des élections (ANE) qui vont travailler sur le terrain, également la sécurité de tous les candidats aux élections présidentielles et législatives de manière à ce que le moment venu leur déploiement sur le terrain ne puisse pas poser de problèmes », a fait savoir le Premier ministre.
« C’est un outil dont la mise en œuvre va aider le gouvernement à organiser des élections justes, libres, transparentes, crédibles et pacifiques dans le respect des délais fixés par la constitution, tout en garantissant la participation pleine et active de tous les citoyens », a souligné Firmin Ngrébada.
Il a martelé que les étrangers ne doivent pas voter en République Centrafricaine. Seuls les Centrafricains sont autorisés à voter, et les dispositions du code électoral en ce qui concerne la question de la nationalité soient respectées.
Le chef du gouvernement a rappelé aux élus du peuple l’évolution positive de l’enrôlement qui donne à ce jour le chiffre global de plus 1.800 inscrits.
Il convient de rappeler que les députés ont accordé le 23 septembre dernier un délai supplémentaire à l’ANE afin de lui permettre de finaliser les opérations d’enrôlement des électeurs dans certaines zones de la République Centrafricaine et à l’étranger.
Le Premier ministre a indiqué que le plan de sécurisation est un document qui a été conçu et élaboré par le gouvernement, la MINUSCA et l’EUTM. Ce document répond à certaines menaces qui sont identifiées aux plans politique, sécuritaire, de la logistique et qui risquent de compromettre le bon déroulement du processus électoral.
« Il s’agit d’une disposition qui a été prise pour assurer au mieux le bon déroulement du processus électoral », a soutenu Firmin Ngrébada.
Le chef du gouvernement a expliqué que ce plan de sécurisation intégré des élections a des organes qui assurent la coordination, un comité stratégique présidé par le Premier ministre assisté du Représentant spécial du Secrétaire général des nations Unies, un comité national qui assure le suivi, et aux niveaux des préfectures, des comités préfectoraux et sous préfectoraux de mise en œuvre de ce plan de sécurisation des élections.
« Dans ce plan de sécurisation, il est prévu d’assurer la sécurité des agents de l’Autorité nationale des élections (ANE) qui vont travailler sur le terrain, également la sécurité de tous les candidats aux élections présidentielles et législatives de manière à ce que le moment venu leur déploiement sur le terrain ne puisse pas poser de problèmes », a fait savoir le Premier ministre.
« C’est un outil dont la mise en œuvre va aider le gouvernement à organiser des élections justes, libres, transparentes, crédibles et pacifiques dans le respect des délais fixés par la constitution, tout en garantissant la participation pleine et active de tous les citoyens », a souligné Firmin Ngrébada.
Il a martelé que les étrangers ne doivent pas voter en République Centrafricaine. Seuls les Centrafricains sont autorisés à voter, et les dispositions du code électoral en ce qui concerne la question de la nationalité soient respectées.
Le chef du gouvernement a rappelé aux élus du peuple l’évolution positive de l’enrôlement qui donne à ce jour le chiffre global de plus 1.800 inscrits.
Il convient de rappeler que les députés ont accordé le 23 septembre dernier un délai supplémentaire à l’ANE afin de lui permettre de finaliser les opérations d’enrôlement des électeurs dans certaines zones de la République Centrafricaine et à l’étranger.