L’objectif de cette cérémonie de mise en place de ces membres est de lancer officiellement les activités de ce comité qui aura la lourde responsabilité de procéder à la relecture et réécriture de la Constitution du 30 mars 2016.
Le Président de la République Centrafricaine Faustin Archange Touadéra a déclaré que la Constitution du 30 mars 2016 renferme des insuffisances surtout dans l’exercice du pouvoir du Président de la République, ne lui permet pas de se dresser devant la souveraineté populaire, le limite et même l’empêche d’exercer la souveraineté que lui a confiée le peuple.
Il a exhorté les membres du comité à travailler dans le respect de l’état de droit, préservant la démocratie acquise, de travailler dans un esprit de l’unité nationale et de mettre leurs au profit de la République.
Selon lui, le décret portant création du comité de rédaction de la Constitution de la République Centrafricaine, n’a fixer que son cadre juridique, mais pour le respect à son indépendance, le décret ne prévoit aucune règle particulière en ce qui concerne son fonctionnement.
« La majorité des Centrafricains estime que notre corpus juridique ne doit pas être immuable. Il doit s’adapter aux évolutions sociales, politiques, techniques et environnementales tant nationales qu’internationales. Selon notre tradition républicaine, la souveraineté nationale appartient au peuple par voix d’élections aux suffrages universels directs ou indirects », a soutenu le Président Faustin Archange Touadéra.
Pour Askin Zengué Landa, conseiller à la Présidence en matière de suivi de l’APPR –RCA, l’article 2 du décret de la mise en place du comité de la rédaction a pour rôle d’élaborer le projet de la nouvelle constitution de la République Centrafricaine, à ce titre il est chargé d’élaborer et adopter son règlement intérieur, adopter son budget, auditionner les forces vives de la nation sur les questions constitutionnelles et remettre au chef de l’Etat le projet de la nouvelle constitution ainsi que le projet des annexes dans trois mois.
« Le comité est assisté d’un secrétariat technique composé de deux secrétaires, deux assistants et d’un agent de liaison », a relevé Askin Zengué-Landa.
Rappelons que le comité chargé de rédiger le projet de la nouvelle constitution de la République Centrafricaine regroupe différentes couches sociales du pays, pouvoirs publics, l’Assemblée nationale, le parti au pouvoir, l’opposition démocratique, la société civile et la plate-forme des confessions religieuses.
Le Président de la République Centrafricaine Faustin Archange Touadéra a déclaré que la Constitution du 30 mars 2016 renferme des insuffisances surtout dans l’exercice du pouvoir du Président de la République, ne lui permet pas de se dresser devant la souveraineté populaire, le limite et même l’empêche d’exercer la souveraineté que lui a confiée le peuple.
Il a exhorté les membres du comité à travailler dans le respect de l’état de droit, préservant la démocratie acquise, de travailler dans un esprit de l’unité nationale et de mettre leurs au profit de la République.
Selon lui, le décret portant création du comité de rédaction de la Constitution de la République Centrafricaine, n’a fixer que son cadre juridique, mais pour le respect à son indépendance, le décret ne prévoit aucune règle particulière en ce qui concerne son fonctionnement.
« La majorité des Centrafricains estime que notre corpus juridique ne doit pas être immuable. Il doit s’adapter aux évolutions sociales, politiques, techniques et environnementales tant nationales qu’internationales. Selon notre tradition républicaine, la souveraineté nationale appartient au peuple par voix d’élections aux suffrages universels directs ou indirects », a soutenu le Président Faustin Archange Touadéra.
Pour Askin Zengué Landa, conseiller à la Présidence en matière de suivi de l’APPR –RCA, l’article 2 du décret de la mise en place du comité de la rédaction a pour rôle d’élaborer le projet de la nouvelle constitution de la République Centrafricaine, à ce titre il est chargé d’élaborer et adopter son règlement intérieur, adopter son budget, auditionner les forces vives de la nation sur les questions constitutionnelles et remettre au chef de l’Etat le projet de la nouvelle constitution ainsi que le projet des annexes dans trois mois.
« Le comité est assisté d’un secrétariat technique composé de deux secrétaires, deux assistants et d’un agent de liaison », a relevé Askin Zengué-Landa.
Rappelons que le comité chargé de rédiger le projet de la nouvelle constitution de la République Centrafricaine regroupe différentes couches sociales du pays, pouvoirs publics, l’Assemblée nationale, le parti au pouvoir, l’opposition démocratique, la société civile et la plate-forme des confessions religieuses.