Cette Commission a pour mission de faire la lumière en toute indépendance, sur les présumées exactions perpétrées par les forces armées centrafricaines (FACA) et ses alliés et la coalition des patriotes pour le changement (CPC) sur la population civile durant les dernières crises.
Le ministre Arno Abazen Djoubay a déclaré que « la République Centrafricaine est un Etat de droit fondé sur des valeurs universelles, de liberté et de protection des Droits de l’Homme ».
Selon lui, le gouvernement a reçu des dénonciations de la part des Experts des Nations Unies, relatives aux présumées violations des Droits de l’Homme et du Droit International Humanitaire qui auraient été commises lors de la contre-offensive contre la rébellion de la CPC.
Le membre du gouvernement a soutenu que, cette Commission d’Enquête Spéciale, a le pouvoir de répertorier toutes les violations des Droits de l’Homme et du Droit International Humanitaire qu’auraient été commises par les groupes armés.
Le ministre par intérim du département de la Justice a indiqué que le gouvernement s’engage à mettre tous les moyens à la disposition de ladite commission pour qu’elle se déploie sur tous les lieux où ces présumés crimes auraient été commis.
Il convient de rappeler que les résultats des investigations sont attendus dans un délai de trois mois.
Le ministre Arno Abazen Djoubay a déclaré que « la République Centrafricaine est un Etat de droit fondé sur des valeurs universelles, de liberté et de protection des Droits de l’Homme ».
Selon lui, le gouvernement a reçu des dénonciations de la part des Experts des Nations Unies, relatives aux présumées violations des Droits de l’Homme et du Droit International Humanitaire qui auraient été commises lors de la contre-offensive contre la rébellion de la CPC.
Le membre du gouvernement a soutenu que, cette Commission d’Enquête Spéciale, a le pouvoir de répertorier toutes les violations des Droits de l’Homme et du Droit International Humanitaire qu’auraient été commises par les groupes armés.
Le ministre par intérim du département de la Justice a indiqué que le gouvernement s’engage à mettre tous les moyens à la disposition de ladite commission pour qu’elle se déploie sur tous les lieux où ces présumés crimes auraient été commis.
Il convient de rappeler que les résultats des investigations sont attendus dans un délai de trois mois.