Dans un communiqué lu à la radio nationale par le ministre de la Communication, Cyriaque Gonda, le gouvernement affirme s’insurger « contre ces actes de grand banditisme perpétrés contre les fils du pays qui effectuaient la noble mission de sauver des vies humaines ».
M. Gonda a également indiqué qu’une cellule de crise composée de 7 membres du gouvernement était à pied d’œuvre autour du Premier Ministre Faustin Archange Touadéra en vue de trouver une solution à cette prise d’otage.
Il a également indiqué qu’une délégation gouvernementale, composée notamment de 4 ministres, devrait arriver très prochainement dans la région de Bozoum afin de porter l’assistance nécessaire aux populations.
La réaction du gouvernement centrafricain intervient au lendemain d’une assemblée générale de l’ordre des médecins, qui lui a demandé ainsi qu’à ses partenaires de tout mettre en oeuvre pour obtenir la «libération saine et sans délai» des otages.
La pratique de prise d’otages est devenue monnaie courante dans la région de Bozoum, chef-lieu de la préfecture de l’Ouham-Pendé, en proie depuis la mi-juin 2005 à une insécurité endémique due à la présence de groupes rebelles et, surtout, de coupeurs de route.
En mai 2007, des hommes armés non identifié avaient enlevé 2 travailleurs humanitaires de l’ONG italienne Cooperazione Internazionale (Coopi) et exigé une rançon contre leur libération, finalement intervenue au bout de 10 jours de détention rappellent-on.
Un an plus tôt, le 9 avril 2006, 2 médecins qui se rendaient à Bouar (452 km au nord-ouest de Bangui) pour une mission du Fonds mondial, avaient trouvé la mort après que leur véhicule eût été intercepté par des coupeurs de route près de Yaloké (350 km au nord de Bangui).
M. Gonda a également indiqué qu’une cellule de crise composée de 7 membres du gouvernement était à pied d’œuvre autour du Premier Ministre Faustin Archange Touadéra en vue de trouver une solution à cette prise d’otage.
Il a également indiqué qu’une délégation gouvernementale, composée notamment de 4 ministres, devrait arriver très prochainement dans la région de Bozoum afin de porter l’assistance nécessaire aux populations.
La réaction du gouvernement centrafricain intervient au lendemain d’une assemblée générale de l’ordre des médecins, qui lui a demandé ainsi qu’à ses partenaires de tout mettre en oeuvre pour obtenir la «libération saine et sans délai» des otages.
La pratique de prise d’otages est devenue monnaie courante dans la région de Bozoum, chef-lieu de la préfecture de l’Ouham-Pendé, en proie depuis la mi-juin 2005 à une insécurité endémique due à la présence de groupes rebelles et, surtout, de coupeurs de route.
En mai 2007, des hommes armés non identifié avaient enlevé 2 travailleurs humanitaires de l’ONG italienne Cooperazione Internazionale (Coopi) et exigé une rançon contre leur libération, finalement intervenue au bout de 10 jours de détention rappellent-on.
Un an plus tôt, le 9 avril 2006, 2 médecins qui se rendaient à Bouar (452 km au nord-ouest de Bangui) pour une mission du Fonds mondial, avaient trouvé la mort après que leur véhicule eût été intercepté par des coupeurs de route près de Yaloké (350 km au nord de Bangui).