Le président français Nicolas Sarkozy a annoncé, le 12 mars à Berlin, que "le problème n'est pas de dépenser encore de plus mais de mettre en place un système de régulation".
Il a réaffirmé mardi dernier que "la sagesse et le sang froid commandent d'attendre que tout ce qui a été décidé soit mis en oeuvre, qu'on laisse le temps à toutes ces mesures de produire leurs effets".
La France ne lancerait plus de nouveaux plan de relance économique dans un bref délai ou au sommet de Londres, ont affirmé ces derniers jours le Premier ministre François Fillon et la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
Pour la France, le problème le plus important est, à ce jour, de réformer le système de la finance internationale et de renforcer la régulation fiancière international.
Mercredi, l'EIysée indique que le président Sarkozy et le dircteur du Fonds monnétaire international (FMI) Strauss-Kahn souhaitent que la remise en état du secteur financier soit une priorité, et et que le chef d'Etat français insiste sur la nécessité d'une réglementation plus forte.
Lors de leur dernier entretien téléphonique, M. Sarkozy et son homologue américain Obama étaient convenus que le sommet du G20 à Londres devait avoir des objectifs ambitieux et aboutir à des décisions concrères, pour définir une nouvelle régulation financière internationnale (...), selon le communiqué de l'Elysée.
La position de la France se trouve plus précisément dans une lettre commune signée 16 mars par M. Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel, adressée au président en execrcice du Conseil européen Mirek Topolanek et au président de la Commission européenne José Manuel Barroso.
"Nous sommes convaincus que nous devons saisir la chance offerte de régler les causes profondes de la crise actuelle au sommet du G20 à Londres. La première priorité est de bâtir une nouvelle architecture financière globale. L'Union européenne doit affirmer une position commune et prendre la tête sur ce sujet", a déclaré les dirigeants dans la lettre commune.
Selon M. Sarkozy et Mme Merkel, la stabilité et le bon fonctionnement des marchés financiers sont cruciaux pour la croissance et l'emploi. Ils sont déterminés à obtenir au sommet de Londres des résultats concrets pour le renforcement de la régulation financière internationale.
Il a réaffirmé mardi dernier que "la sagesse et le sang froid commandent d'attendre que tout ce qui a été décidé soit mis en oeuvre, qu'on laisse le temps à toutes ces mesures de produire leurs effets".
La France ne lancerait plus de nouveaux plan de relance économique dans un bref délai ou au sommet de Londres, ont affirmé ces derniers jours le Premier ministre François Fillon et la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
Pour la France, le problème le plus important est, à ce jour, de réformer le système de la finance internationale et de renforcer la régulation fiancière international.
Mercredi, l'EIysée indique que le président Sarkozy et le dircteur du Fonds monnétaire international (FMI) Strauss-Kahn souhaitent que la remise en état du secteur financier soit une priorité, et et que le chef d'Etat français insiste sur la nécessité d'une réglementation plus forte.
Lors de leur dernier entretien téléphonique, M. Sarkozy et son homologue américain Obama étaient convenus que le sommet du G20 à Londres devait avoir des objectifs ambitieux et aboutir à des décisions concrères, pour définir une nouvelle régulation financière internationnale (...), selon le communiqué de l'Elysée.
La position de la France se trouve plus précisément dans une lettre commune signée 16 mars par M. Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel, adressée au président en execrcice du Conseil européen Mirek Topolanek et au président de la Commission européenne José Manuel Barroso.
"Nous sommes convaincus que nous devons saisir la chance offerte de régler les causes profondes de la crise actuelle au sommet du G20 à Londres. La première priorité est de bâtir une nouvelle architecture financière globale. L'Union européenne doit affirmer une position commune et prendre la tête sur ce sujet", a déclaré les dirigeants dans la lettre commune.
Selon M. Sarkozy et Mme Merkel, la stabilité et le bon fonctionnement des marchés financiers sont cruciaux pour la croissance et l'emploi. Ils sont déterminés à obtenir au sommet de Londres des résultats concrets pour le renforcement de la régulation financière internationale.