L’objectif global de cet atelier vise l’information et la sensibilisation des opérateurs économiques de Bangui sur les réformes relatives à la création d’entreprises en République Centrafricaine.
De façons spécifiques, il s’agit, entre autres, de faire connaître aux opérateurs économiques les nouveaux textes organiques du Guichet unique et les éclairer sur les formalités obligatoires et les différents frais à payer, en matière de création d’entreprises.
Mme Albertine Agoundoukoua Mbissa a reconnu qu’en République Centrafricaine, les petites et moyennes entreprises existantes opèrent, pour certaines dans le « secteur moderne » ou formel, et pour d’autres dans le « secteur non structuré » ou informel, avec tout ce que cela comporte comme conséquences. Il est donc question, de pousser les entreprises du secteur informel à naviguer vers le secteur formel.
Elle a également reconnu que certaines difficultés enfreignent l’élan des opérateurs économiques afin de créer une entreprise. Il s’agit de la non-maîtrise des techniques de gestion et de management ; l’accès aux crédits pour financer les activités des opérateurs, les tracasseries administratives et policières ainsi que les pressions fiscales ; enfin, les barrières illégales empêchant la libre circulation des personnes et des biens.
Pour promouvoir les petites et moyennes entreprises, la Ministre de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises, du Secteur Informel et du Guichet unique a rappelé les mesures prises par le gouvernement dans ce sens. Ce sont, d’après elle, la publication de l’avis de création de société par voie d’affichage au greffe du Tribunal de Commerce ; la production d’une attestation sur l’honneur en lieu et place du casier judiciaire ; l’inscription gratuite des nouvelles entreprises au fichier consulaire de la Chambre de Commerce, de l’Industrie, des Mines et de l’Artisanat (CCIMA) ; de la suppression de l’agrément et de la carte professionnelle de commerçant ; enfin, la réduction de 50% des droits d’enregistrement.
Il faut souligner qu’à l’issue des mutineries de 1996, officiellement, le nombre des entreprises du secteur formel est passé de 400 en 1995 à 50 en 2006.
De façons spécifiques, il s’agit, entre autres, de faire connaître aux opérateurs économiques les nouveaux textes organiques du Guichet unique et les éclairer sur les formalités obligatoires et les différents frais à payer, en matière de création d’entreprises.
Mme Albertine Agoundoukoua Mbissa a reconnu qu’en République Centrafricaine, les petites et moyennes entreprises existantes opèrent, pour certaines dans le « secteur moderne » ou formel, et pour d’autres dans le « secteur non structuré » ou informel, avec tout ce que cela comporte comme conséquences. Il est donc question, de pousser les entreprises du secteur informel à naviguer vers le secteur formel.
Elle a également reconnu que certaines difficultés enfreignent l’élan des opérateurs économiques afin de créer une entreprise. Il s’agit de la non-maîtrise des techniques de gestion et de management ; l’accès aux crédits pour financer les activités des opérateurs, les tracasseries administratives et policières ainsi que les pressions fiscales ; enfin, les barrières illégales empêchant la libre circulation des personnes et des biens.
Pour promouvoir les petites et moyennes entreprises, la Ministre de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises, du Secteur Informel et du Guichet unique a rappelé les mesures prises par le gouvernement dans ce sens. Ce sont, d’après elle, la publication de l’avis de création de société par voie d’affichage au greffe du Tribunal de Commerce ; la production d’une attestation sur l’honneur en lieu et place du casier judiciaire ; l’inscription gratuite des nouvelles entreprises au fichier consulaire de la Chambre de Commerce, de l’Industrie, des Mines et de l’Artisanat (CCIMA) ; de la suppression de l’agrément et de la carte professionnelle de commerçant ; enfin, la réduction de 50% des droits d’enregistrement.
Il faut souligner qu’à l’issue des mutineries de 1996, officiellement, le nombre des entreprises du secteur formel est passé de 400 en 1995 à 50 en 2006.