
Photo de famille des participants
Cette formation de 14 jours vise à aider les bénéficiaires à être en mesure de produire et diffuser des émissions sur la protection des populations vulnérables, à encourager le retour des personnes déplacées, à animer le processus du désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex combattants (DDR) et à donner des conseils sur le VIH/SIDA.
Les modules dispensés concernent la culture de la paix, les spécificités d’une radio communautaire, les techniques de production et d’animation, les genres journalistiques, l’éthique et la déontologie.
La formation des techniciens est axée sur la prise de son, les équipements ainsi que leur maintenance, l’électronique et l’électricité.
Celle des membres du comité de gestion est orientée vers la mobilisation des ressources, l’administration, la gestion des conflits, des ressources financières et matérielles.
Pour rappel, la ville de Kaga-Bandoro est l’une des localités qui a connu les crises militaro-politiques. Raison pour laquelle, Philémon Dérant Lakoué a exhorté les participants à bien assimiler le contenu des formations pour « sensibiliser toutes les couches de la population à l’unité nationale, à la paix, au civisme et à la reprise des activités agropastorales en vue du développement de la région ».
Le chargé d’antenne de l’UNESCO, Mahamat-Ahmad Alhabo, a insisté pour sa part sur les vertus de la paix et de la coexistence pacifique qui vont incomber aux animateurs, techniciens et membres du comité de gestion de la radio communautaire de Kaga Bandoro.
Pour mémoire, le projet « redéploiement des radios communautaires » est une initiative du gouvernement centrafricain en partenariat avec l’UNESCO et financé par le Fonds de Consolidation de la Paix.
La radio communautaire de Kaga Bandoro sera mise en chantier après celle de Paoua dans la préfecture de l’Ouham Péndé et celle de Birao dans la préfecture de Vakaga. Il ne reste plus que celle de Bossangoa dans l’Ouham qui sera inaugurée dans les jours à venir.
Les modules dispensés concernent la culture de la paix, les spécificités d’une radio communautaire, les techniques de production et d’animation, les genres journalistiques, l’éthique et la déontologie.
La formation des techniciens est axée sur la prise de son, les équipements ainsi que leur maintenance, l’électronique et l’électricité.
Celle des membres du comité de gestion est orientée vers la mobilisation des ressources, l’administration, la gestion des conflits, des ressources financières et matérielles.
Pour rappel, la ville de Kaga-Bandoro est l’une des localités qui a connu les crises militaro-politiques. Raison pour laquelle, Philémon Dérant Lakoué a exhorté les participants à bien assimiler le contenu des formations pour « sensibiliser toutes les couches de la population à l’unité nationale, à la paix, au civisme et à la reprise des activités agropastorales en vue du développement de la région ».
Le chargé d’antenne de l’UNESCO, Mahamat-Ahmad Alhabo, a insisté pour sa part sur les vertus de la paix et de la coexistence pacifique qui vont incomber aux animateurs, techniciens et membres du comité de gestion de la radio communautaire de Kaga Bandoro.
Pour mémoire, le projet « redéploiement des radios communautaires » est une initiative du gouvernement centrafricain en partenariat avec l’UNESCO et financé par le Fonds de Consolidation de la Paix.
La radio communautaire de Kaga Bandoro sera mise en chantier après celle de Paoua dans la préfecture de l’Ouham Péndé et celle de Birao dans la préfecture de Vakaga. Il ne reste plus que celle de Bossangoa dans l’Ouham qui sera inaugurée dans les jours à venir.