Au terme de ces travaux les participants ont recommandé entre autres ; la mise en œuvre et le suivi de la charte de lutte contre la violence en milieu scolaire ; l’instauration d’une journée de lutte contre la violence en milieu scolaire et la dynamisation des comités de lutte contre la violence en milieu scolaire ; la vulgarisation des documents de morale professionnelle, ainsi que la promotion des disciplines favorisant la non violence en milieu scolaire.
« Alors que le milieu scolaire devait être une havre de paix de sérénité et surtout de sécurité pour permettre aux élèves de mieux étudier, pour se préparer, soit aux études supérieures, soit pour entrer dans la vie active, il offre des actes de violence », a déclaré la ministre Gisèle Annie Nam.
La ministre Gisèle Annie Nam a souhaité qu’il soit indispensable de changer le visage de l’école centrafricaine en réduisant la violence dans les structures scolaires.
Elle a ajouté que l’Association des Directeurs d’Ecole du Fondamental 1 de Centrafrique (ADEFCA) a mis en place une charte pour une école meilleure où les enfants seront tolérants et seront en confiance avec les autres pour mieux travailler à l’école.
A l’issue des travaux de cet atelier, les Directeurs d’école de la République Centrafricaine se sont engagés à faire de leur école, une école amie des enfants, amie des filles, à veiller à l’application des règlements intérieurs et des normes de bonne conduite élaborée en collaboration avec les enfants, à mettre en place et rendre opérationnel un comité de lutte contre la violence au sein de l’établissement en interdisant formellement les armes blanches, les drogues, les stupéfiants, à ne pas autoriser les enseignants en état d’ébriété à entrer dans les classes, à interdire la corruption et l’harcèlement sexuel au sein de l’école.
Il faut rappeler que cet atelier sur la lutte contre la violence en milieu scolaire est organisé par l’ADEFCA avec le concours financier et technique du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), avait pour objectif de mettre en évidence l’ampleur des violences scolaires et renforcer les capacités de l’équipe pédagogique dans les actions de prévention.
« Alors que le milieu scolaire devait être une havre de paix de sérénité et surtout de sécurité pour permettre aux élèves de mieux étudier, pour se préparer, soit aux études supérieures, soit pour entrer dans la vie active, il offre des actes de violence », a déclaré la ministre Gisèle Annie Nam.
La ministre Gisèle Annie Nam a souhaité qu’il soit indispensable de changer le visage de l’école centrafricaine en réduisant la violence dans les structures scolaires.
Elle a ajouté que l’Association des Directeurs d’Ecole du Fondamental 1 de Centrafrique (ADEFCA) a mis en place une charte pour une école meilleure où les enfants seront tolérants et seront en confiance avec les autres pour mieux travailler à l’école.
A l’issue des travaux de cet atelier, les Directeurs d’école de la République Centrafricaine se sont engagés à faire de leur école, une école amie des enfants, amie des filles, à veiller à l’application des règlements intérieurs et des normes de bonne conduite élaborée en collaboration avec les enfants, à mettre en place et rendre opérationnel un comité de lutte contre la violence au sein de l’établissement en interdisant formellement les armes blanches, les drogues, les stupéfiants, à ne pas autoriser les enseignants en état d’ébriété à entrer dans les classes, à interdire la corruption et l’harcèlement sexuel au sein de l’école.
Il faut rappeler que cet atelier sur la lutte contre la violence en milieu scolaire est organisé par l’ADEFCA avec le concours financier et technique du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), avait pour objectif de mettre en évidence l’ampleur des violences scolaires et renforcer les capacités de l’équipe pédagogique dans les actions de prévention.