Au termes des travaux, une soixantaine de leaders des confession religieuses se sont engagés, entre autres, à mettre en place des organes nationaux, préfectoraux et sous préfectoraux en matière des pratiques familiales essentielles, à former les membres des organes et les leaders des confessions religieuses, organiser des campagnes de sensibilisation de proximité sur les pratiques familiales essentielles, assurer le suivi-évaluation de toutes les activités sur les pratiques essentielles.
Le chef de section communication à l’UNICEF, Mme. Brigitte Starr-Merklein, a indiqué que « notre but est d’améliorer les conditions de vie des enfants et des femmes dans le pays, à travers l’amélioration de l’accessibilité au centre de santé, l’amélioration de l’offre et la qualité des soins de santé maternelle, néonatale et infantile et le renforcement des capacités des individus, des familles pour promouvoir la santé maternelle, néonatale et infantile par la connaissance des gestes qui sauvent ».
« Les leaders religieux sont des communicateurs, ce sont des gens qui peuvent facilement communiquer aux chrétiens, aux adeptes tout ce qu’ils ont appris concernant les pratiques familiales essentielles », a souligné l’un des participants l’Apôtre Michel Gbégbé.
Il a fait savoir que « dans les églises et dans les mosquées, les fidèles sont très captifs et réceptifs, raison pour laquelle le REJEC et l’UNICEF ont organisé ce séminaire à l’intention des responsables religieux pour les aider dans cette opération en vue de réduire les taux de morbidité et de mortalité maternelle et infantile très élevés en Centrafrique ».
Il faut rappeler que cet atelier sur les pratiques familiales essentielles a permis à plus de soixantaine de leaders des confessions religieuses venus de Bangui et des provinces d’être édifiés sur les différentes communications, notamment l’allaitement maternel exclusif de 0 à 6 mois, le lavage des mains avec de l’eau propre et du savon, les causes du paludisme et l’utilisation des moustiquaires imprégnées, la reconnaissance et le traitement de la diarrhée par la solution de réhydratation orale (SRO) la malnutrition, les bienfaits de la vaccination, le dépistage volontaire et l’utilisation du préservatif.
Le chef de section communication à l’UNICEF, Mme. Brigitte Starr-Merklein, a indiqué que « notre but est d’améliorer les conditions de vie des enfants et des femmes dans le pays, à travers l’amélioration de l’accessibilité au centre de santé, l’amélioration de l’offre et la qualité des soins de santé maternelle, néonatale et infantile et le renforcement des capacités des individus, des familles pour promouvoir la santé maternelle, néonatale et infantile par la connaissance des gestes qui sauvent ».
« Les leaders religieux sont des communicateurs, ce sont des gens qui peuvent facilement communiquer aux chrétiens, aux adeptes tout ce qu’ils ont appris concernant les pratiques familiales essentielles », a souligné l’un des participants l’Apôtre Michel Gbégbé.
Il a fait savoir que « dans les églises et dans les mosquées, les fidèles sont très captifs et réceptifs, raison pour laquelle le REJEC et l’UNICEF ont organisé ce séminaire à l’intention des responsables religieux pour les aider dans cette opération en vue de réduire les taux de morbidité et de mortalité maternelle et infantile très élevés en Centrafrique ».
Il faut rappeler que cet atelier sur les pratiques familiales essentielles a permis à plus de soixantaine de leaders des confessions religieuses venus de Bangui et des provinces d’être édifiés sur les différentes communications, notamment l’allaitement maternel exclusif de 0 à 6 mois, le lavage des mains avec de l’eau propre et du savon, les causes du paludisme et l’utilisation des moustiquaires imprégnées, la reconnaissance et le traitement de la diarrhée par la solution de réhydratation orale (SRO) la malnutrition, les bienfaits de la vaccination, le dépistage volontaire et l’utilisation du préservatif.