Satisfait du travail réalisé par les experts et les représentants des différents partenaires, le ministre des Postes et Télécommunication chargé des Nouvelles Technologies, M. Fidèle Gouandjika, a déclaré qu’ « il ne reste qu’à convaincre nos gouvernements respectifs davantage, pour le projet de construction de l’infrastructure sous-régionale large bande à fibre optique, inscrit en bonne place dans les priorités de nos États ».
Il a également réaffirmé le ferme attachement du gouvernement centrafricain à ce projet qui est selon lui, « un puissant instrument pouvant réduire considérablement non seulement la fracture numérique, mais également la pauvreté ».
Ayant pour objectif principal le désenclavement de la sous-région d’Afrique Centrale, le projet fibre optique est entièrement financé par la Banque mondiale à hauteur de 160 millions de dollars américains. Sa première phase concerne essentiellement le Cameroun, le Tchad et la République Centrafricaine.
Les réunions de Bangui, tenues du 18 au 20 février, ont permis aux experts des trois pays et des représentants de la Banque mondiale, de l’Union internationale des télécommunications, de la Banque africaine de développement et de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cemac) d’élaborer le document de base, nécessaire à la réalisation du projet.
Il a également réaffirmé le ferme attachement du gouvernement centrafricain à ce projet qui est selon lui, « un puissant instrument pouvant réduire considérablement non seulement la fracture numérique, mais également la pauvreté ».
Ayant pour objectif principal le désenclavement de la sous-région d’Afrique Centrale, le projet fibre optique est entièrement financé par la Banque mondiale à hauteur de 160 millions de dollars américains. Sa première phase concerne essentiellement le Cameroun, le Tchad et la République Centrafricaine.
Les réunions de Bangui, tenues du 18 au 20 février, ont permis aux experts des trois pays et des représentants de la Banque mondiale, de l’Union internationale des télécommunications, de la Banque africaine de développement et de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cemac) d’élaborer le document de base, nécessaire à la réalisation du projet.