Avant ce point de presse, Ali Bongo qui était accompagné du ministre des Affaires étrangères, Paul Toungui, et du ministre chargé des Relations avec le parlement, Emile Doumba, a pris part à un déjeuner avec le gouvernement centrafricain et le corps diplomatique et lors duquel François Bozizé a fait observer une minute de silence en mémoire de feu Omar Bongo Ondimba, prédécesseur et père d’Ali Bongo.
Selon le communiqué conjoint rendu public après l’entretien des deux présidents, ces derniers « se sont félicités de leur identité de vue sur l’ensemble des questions abordées et ont décidé de mettre en place une mécanisme qui sera chargé de concevoir une coopération rénovée et agissante dans les domaines d’intérêt commun ».
François Bozizé et Ali Bongo Ondimba ont également « réaffirmé leur attachement à la position de l’Union Africaine (UA) quant à l’intégrité territoriale des Etats africains », estimant que l’incursion de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA, rébellion ougandaise) dans le Sud-est de la République Centrafricaine « constitue une menace pour la sécurité du pays ».
« Vivement préoccupés par les conséquences de la crise financière internationale », les deux chefs d’Etat « ont exprimé leur détermination à œuvrer pour l’établissement rapide d’un nouvel ordre économique dans le monde qui protège l’Afrique des conséquences macroéconomiques des pays développés ».
Installé le 16 octobre dernier dans ses fonctions de président du Gabon, Ali Bongo succède à son père, Omar Bongo Ondimba, Haut médiateur des questions centrafricaines dans l’espace CEMAC, décédé le 8 juin 2009 après 41 passés à la tête de l’Etat gabonais.
Selon le communiqué conjoint rendu public après l’entretien des deux présidents, ces derniers « se sont félicités de leur identité de vue sur l’ensemble des questions abordées et ont décidé de mettre en place une mécanisme qui sera chargé de concevoir une coopération rénovée et agissante dans les domaines d’intérêt commun ».
François Bozizé et Ali Bongo Ondimba ont également « réaffirmé leur attachement à la position de l’Union Africaine (UA) quant à l’intégrité territoriale des Etats africains », estimant que l’incursion de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA, rébellion ougandaise) dans le Sud-est de la République Centrafricaine « constitue une menace pour la sécurité du pays ».
« Vivement préoccupés par les conséquences de la crise financière internationale », les deux chefs d’Etat « ont exprimé leur détermination à œuvrer pour l’établissement rapide d’un nouvel ordre économique dans le monde qui protège l’Afrique des conséquences macroéconomiques des pays développés ».
Installé le 16 octobre dernier dans ses fonctions de président du Gabon, Ali Bongo succède à son père, Omar Bongo Ondimba, Haut médiateur des questions centrafricaines dans l’espace CEMAC, décédé le 8 juin 2009 après 41 passés à la tête de l’Etat gabonais.