
Cette campagne d’information et de sensibilisation vise à exhorter les leaders et autorités locales en vue de s’approprier et d’adhérer massivement au processus du DDRR dans le but de la consolidation de la paix.
Le sous-préfet de Baoro, Daniel Kpassinam, s’est réjoui de cette mission dans sa localité et a lancé un cri d’alarme à l’endroit de la population de sa circonscription, avant de demander à la population de veiller sur le bon fonctionnement de ce processus du DDRR.
Selon le chargé de communication du programme DDRR, Aymar Ngrégbamba, il faut être dans un des groupes armés ou bien signataires de l’accord de Bangui pour déposer les armes de guerre en état de fonctionnement ou non, les explosifs, les mines, les grenades ainsi que les effets militaires.
« Les armes de gros calibre et de petit calibre ainsi que les armes conventionnelles ou classiques ont été éligibles à ce processus », a-t-il conclu.
Le colonel Martin Gbebondi, chargé des relations avec les groupes armés a demandé à ceux-ci de préparer les listes afin de faciliter ce processus le moment venu.
Commencé le 15 février dernier, cette mission de sensibilisation s'est achevée à la satisfaction du colonel Martin Gbebondi, qui la considère comme une réussite, malgré les difficultés rencontrées.
Le sous-préfet de Baoro, Daniel Kpassinam, s’est réjoui de cette mission dans sa localité et a lancé un cri d’alarme à l’endroit de la population de sa circonscription, avant de demander à la population de veiller sur le bon fonctionnement de ce processus du DDRR.
Selon le chargé de communication du programme DDRR, Aymar Ngrégbamba, il faut être dans un des groupes armés ou bien signataires de l’accord de Bangui pour déposer les armes de guerre en état de fonctionnement ou non, les explosifs, les mines, les grenades ainsi que les effets militaires.
« Les armes de gros calibre et de petit calibre ainsi que les armes conventionnelles ou classiques ont été éligibles à ce processus », a-t-il conclu.
Le colonel Martin Gbebondi, chargé des relations avec les groupes armés a demandé à ceux-ci de préparer les listes afin de faciliter ce processus le moment venu.
Commencé le 15 février dernier, cette mission de sensibilisation s'est achevée à la satisfaction du colonel Martin Gbebondi, qui la considère comme une réussite, malgré les difficultés rencontrées.