Au terme des travaux du forum, les participants ont formulé 27 recommandations, préconisant en premier lieu au gouvernement et aux partenaires au développement de renforcer le financement du secteur de la santé et l’accessibilité des soins sur toute l’étendue du territoire centrafricain.
D'autres recommandations visent à supprimer les taxes douanières sur les produits pharmaceutiques et consommables médicaux de base, exempter les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans du paiement des soins, encourager le développement des mutuelles de santé à l’échelle nationale, accélérer la mise en œuvre du programme destiné au développement du micro crédit, renforcer la capacité institutionnelle à tous les niveaux de la pyramide sanitaire pour la mise en œuvre de le politique de santé.
Les participants au forum ont également recommandé au gouvernement de veiller à la redistribution des ressources générées par les formations sanitaires au prorata de leurs performances pour une amélioration de la qualité des soins, de réviser les textes législatifs réglementant le secteur de la santé, d'assurer la sécurité des biens et des personnes à tous les niveaux.
Quant aux partenaires au développement, il leur est demandé d’augmenter sensiblement leur contribution au financement du secteur de la santé afin de combler le gap financier nécessaire à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et de s’engager avec le gouvernement pour la mise en œuvre des mécanismes alternatifs de garantie de meilleure accessibilité aux soins.
Dans son discours de clôture du forum, M. Touadera a déclaré que la santé est un droit fondamental du citoyen centrafricain et une composante essentielle de la lutte contre la pauvreté qui a été retenue comme l’un des secteurs prioritaires du gouvernement.
Organisé par le ministère de la Santé Publique, de la Population et de La Lutte contre le Sida avec l’appui financier et technique du Fond des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le forum a réuni une centaine de participants venus de toutes les couches sociales qui ont, pendant 3 jours, procédé à l'état des lieux de l’offre et de la demande de service de santé en général et particulièrement pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans.
L'objectif recherché par le forum est d'engager des réflexions qui conduiront à l'adoption d'une d'un système permettant, grâce à l'appui de partenaires, d'offrir des services de santé à faibles coûts, voire même la gratuité des soins obstétricaux des femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans et de favoriser l'accessibilité aux services de santé.
Dans le sillage dudit forum, le ministre de la Santé Publique, de la Population et de Lutte contre le Sida, M. Faustin Ntelnoumbi, a réceptionné, jeudi, un lot de matériels roulants des mains du Représentant de l’UNICEF, M. Jacques Adandé, en présence du représentant de l’Organisation Mondiale dela Santé (OMS), le docteur Maïga Zakaria.
Le lot de matériels est composé de 25 vélos tout terrain et 3 motos, dans le but de renforcer la capacité des communautés afin que l’initiative mutualiste devienne une réalité en Centrafrique.
Il faut noter que ces vélos et ces motos sont répartis entre les 8 mutuelles de Bangui, de Bossangoa et de Boda, pouvant permettre aux auxiliaires d'animation d’aller de ménage en ménage pour sensibiliser les populations pour une adhésion massive aux mutuelles de santé.
D'autres recommandations visent à supprimer les taxes douanières sur les produits pharmaceutiques et consommables médicaux de base, exempter les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans du paiement des soins, encourager le développement des mutuelles de santé à l’échelle nationale, accélérer la mise en œuvre du programme destiné au développement du micro crédit, renforcer la capacité institutionnelle à tous les niveaux de la pyramide sanitaire pour la mise en œuvre de le politique de santé.
Les participants au forum ont également recommandé au gouvernement de veiller à la redistribution des ressources générées par les formations sanitaires au prorata de leurs performances pour une amélioration de la qualité des soins, de réviser les textes législatifs réglementant le secteur de la santé, d'assurer la sécurité des biens et des personnes à tous les niveaux.
Quant aux partenaires au développement, il leur est demandé d’augmenter sensiblement leur contribution au financement du secteur de la santé afin de combler le gap financier nécessaire à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et de s’engager avec le gouvernement pour la mise en œuvre des mécanismes alternatifs de garantie de meilleure accessibilité aux soins.
Dans son discours de clôture du forum, M. Touadera a déclaré que la santé est un droit fondamental du citoyen centrafricain et une composante essentielle de la lutte contre la pauvreté qui a été retenue comme l’un des secteurs prioritaires du gouvernement.
Organisé par le ministère de la Santé Publique, de la Population et de La Lutte contre le Sida avec l’appui financier et technique du Fond des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le forum a réuni une centaine de participants venus de toutes les couches sociales qui ont, pendant 3 jours, procédé à l'état des lieux de l’offre et de la demande de service de santé en général et particulièrement pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans.
L'objectif recherché par le forum est d'engager des réflexions qui conduiront à l'adoption d'une d'un système permettant, grâce à l'appui de partenaires, d'offrir des services de santé à faibles coûts, voire même la gratuité des soins obstétricaux des femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans et de favoriser l'accessibilité aux services de santé.
Dans le sillage dudit forum, le ministre de la Santé Publique, de la Population et de Lutte contre le Sida, M. Faustin Ntelnoumbi, a réceptionné, jeudi, un lot de matériels roulants des mains du Représentant de l’UNICEF, M. Jacques Adandé, en présence du représentant de l’Organisation Mondiale dela Santé (OMS), le docteur Maïga Zakaria.
Le lot de matériels est composé de 25 vélos tout terrain et 3 motos, dans le but de renforcer la capacité des communautés afin que l’initiative mutualiste devienne une réalité en Centrafrique.
Il faut noter que ces vélos et ces motos sont répartis entre les 8 mutuelles de Bangui, de Bossangoa et de Boda, pouvant permettre aux auxiliaires d'animation d’aller de ménage en ménage pour sensibiliser les populations pour une adhésion massive aux mutuelles de santé.