Le Secrétaire général adjoint, Jean-Pierre Lacroix a expliqué que cette visite les a confortés dans l’idée selon laquelle, il faut redoubler d’efforts et qu’il y a une dynamique de l’accord qu’il faut faire connaitre à l’opinion nationale et internationale.
Il a souligné qu’avec tous leurs interlocuteurs, la mission leur a notifié que la communauté internationale est prêt à soutenir la tenue des prochaines élections et que l’idée d’une nouvelle transition est inacceptable.
Selon lui, c’est ramener le pays plusieurs années en arrières, alors qu’après la crise qui a mis à mal les institutions de la République, avec les élections de 2016, le pays a eu un régime normale reconnu par la communauté internationale.
Le Commissaire Smaïl Chergui a quant à lui, indiqué que ceux qui croient qu’ils peuvent violer l’accord ou perturber sa mise en œuvre, trouveront face à eux la communauté internationale et qu’ils sont convaincus que c’est un grand acquis pour ce pays et qu’il ne faut pas à chaque fois avoir un plan B ou un autre accord. Car il n’ya pas un accord parfait. C’est sa mise en œuvre qu’il faut canaliser.
Il a fait savoir qu’il faut que les dividendes de la paix soient visibles aux yeux des citoyens, notamment en matière d’écoles, d’hôpitaux, d’emplois en un mot de la mise immédiate des grands projets économiques visant à améliorer leurs conditions de vie.
C’est dans ce cadre là que le Commissaire Chergui a évoqué l’inauguration la semaine dernière à Berberati, avec l’Union Européenne, les travaux de la fibre optique avec des perspectives de 5 000 emplois dans l’immédiat.
« Nous repartirons encourager, mais déterminés non seulement à continuer ce travail d’accompagnement, mais aussi déterminés à assumer notre responsabilité, par rapport au respect dudit accord et au respect des échéances électorales en vue d’une meilleure suivi de la mise en oeuvre de l’accord politique et de réconciliation signé le 6 février dernier à Bangui », a poursuivi, M. Chergui.
Il a annoncé qu’après Bangui, la mission va mettre le cap sur Khartoum au soudan pour relayer le même message à nos voisins. Car la relation de confiance entre la RCA et les pays voisins contribueront à la mise en œuvre effective dudit accord notamment par la tenue régulière des commissions mixtes.
Le Directeur Générale Koen Vervaeke, a rappelé les nombreux engagements de l’Union Européenne en faveur de la République Centrafricaine à travers la formation des FACA nécessaire à la mise en œuvre de cet accord de paix.
En réponse aux questions des journalistes, les autres membres de la mission ont apporté quelques éléments de réponse. Pour M. Koen, le message de l’Union Européenne est un message de fermeté et qu’il n’ y a qu’une seule feuille de route : le respect de l’accord de paix ainsi que le respect du calendrier électorale.
Il convient de rappeler que pour les membres de cette mission conjointe, la solution à la crise Centrafricaine n’est pas militaire et que leurs missions consistent à activer les parties prenantes pour qu’ils respectent leurs engagements.
Il a souligné qu’avec tous leurs interlocuteurs, la mission leur a notifié que la communauté internationale est prêt à soutenir la tenue des prochaines élections et que l’idée d’une nouvelle transition est inacceptable.
Selon lui, c’est ramener le pays plusieurs années en arrières, alors qu’après la crise qui a mis à mal les institutions de la République, avec les élections de 2016, le pays a eu un régime normale reconnu par la communauté internationale.
Le Commissaire Smaïl Chergui a quant à lui, indiqué que ceux qui croient qu’ils peuvent violer l’accord ou perturber sa mise en œuvre, trouveront face à eux la communauté internationale et qu’ils sont convaincus que c’est un grand acquis pour ce pays et qu’il ne faut pas à chaque fois avoir un plan B ou un autre accord. Car il n’ya pas un accord parfait. C’est sa mise en œuvre qu’il faut canaliser.
Il a fait savoir qu’il faut que les dividendes de la paix soient visibles aux yeux des citoyens, notamment en matière d’écoles, d’hôpitaux, d’emplois en un mot de la mise immédiate des grands projets économiques visant à améliorer leurs conditions de vie.
C’est dans ce cadre là que le Commissaire Chergui a évoqué l’inauguration la semaine dernière à Berberati, avec l’Union Européenne, les travaux de la fibre optique avec des perspectives de 5 000 emplois dans l’immédiat.
« Nous repartirons encourager, mais déterminés non seulement à continuer ce travail d’accompagnement, mais aussi déterminés à assumer notre responsabilité, par rapport au respect dudit accord et au respect des échéances électorales en vue d’une meilleure suivi de la mise en oeuvre de l’accord politique et de réconciliation signé le 6 février dernier à Bangui », a poursuivi, M. Chergui.
Il a annoncé qu’après Bangui, la mission va mettre le cap sur Khartoum au soudan pour relayer le même message à nos voisins. Car la relation de confiance entre la RCA et les pays voisins contribueront à la mise en œuvre effective dudit accord notamment par la tenue régulière des commissions mixtes.
Le Directeur Générale Koen Vervaeke, a rappelé les nombreux engagements de l’Union Européenne en faveur de la République Centrafricaine à travers la formation des FACA nécessaire à la mise en œuvre de cet accord de paix.
En réponse aux questions des journalistes, les autres membres de la mission ont apporté quelques éléments de réponse. Pour M. Koen, le message de l’Union Européenne est un message de fermeté et qu’il n’ y a qu’une seule feuille de route : le respect de l’accord de paix ainsi que le respect du calendrier électorale.
Il convient de rappeler que pour les membres de cette mission conjointe, la solution à la crise Centrafricaine n’est pas militaire et que leurs missions consistent à activer les parties prenantes pour qu’ils respectent leurs engagements.