Selon le consultant formateur, M. Serge-Magloire Mologbama, cette formation a pour but de « fabriquer une nouvelle race d’entrepreneurs capables de concevoir des projets et de les mener à bon terme ».
« La République Centrafricaine dispose des personnes capables de concevoir des projets. Mais nombreuses sont celles qui ne parviennent pas à décoller parce que les projets sont mal conçus. Souvent, ce sont des parachutages qui ne laissent aucune chance de survie à leurs entreprises », a-t-il fait remarquer.
Il a déclaré que c’est la raison pour laquelle cette troisième formation en entreprenariat, création et développement d’entreprises s’est donnée pour thème l’élaboration du plan d’affaires qui, selon lui, « est une nouvelle méthodologie d’élaboration de projets d’affaires et un cadre qui pousse les personnes à s’essayer en affaires.
Pour Mme Zouta, la maîtrise et l’appropriation de cet appareil méthodologique va permettre aux porteurs et promoteurs de projets ainsi qu'aux opérateurs économiques et chefs d’entreprises de faire « une meilleure gestion et une gestion saine de leurs entreprises ».
Il convient de rappeler que cette formation a réuni une trentaine de personnes dont des députés, des chefs d’entreprises, des porteurs et promoteurs de projets. Elle est la troisième d’une série de quatre que prévoient la chambre ducommerce de Bangui et sa partenaire privilégiée, la Société financière internationale, pour renforcer les capacités des personnes intéressées par le secteur privé.
« La République Centrafricaine dispose des personnes capables de concevoir des projets. Mais nombreuses sont celles qui ne parviennent pas à décoller parce que les projets sont mal conçus. Souvent, ce sont des parachutages qui ne laissent aucune chance de survie à leurs entreprises », a-t-il fait remarquer.
Il a déclaré que c’est la raison pour laquelle cette troisième formation en entreprenariat, création et développement d’entreprises s’est donnée pour thème l’élaboration du plan d’affaires qui, selon lui, « est une nouvelle méthodologie d’élaboration de projets d’affaires et un cadre qui pousse les personnes à s’essayer en affaires.
Pour Mme Zouta, la maîtrise et l’appropriation de cet appareil méthodologique va permettre aux porteurs et promoteurs de projets ainsi qu'aux opérateurs économiques et chefs d’entreprises de faire « une meilleure gestion et une gestion saine de leurs entreprises ».
Il convient de rappeler que cette formation a réuni une trentaine de personnes dont des députés, des chefs d’entreprises, des porteurs et promoteurs de projets. Elle est la troisième d’une série de quatre que prévoient la chambre ducommerce de Bangui et sa partenaire privilégiée, la Société financière internationale, pour renforcer les capacités des personnes intéressées par le secteur privé.