Le Lycée Marie-Jeanne Caron, photo d'archives
Comme prévu, les élèves du fondamental 2, leurs enseignants ainsi que les populations riveraines desdits établissement ont eu droit aux séries de représentations théâtrales suivi des séries de question/repose aux préoccupations des élèves par le panel des femmes membres du réseau des femmes africaines ministres et parlementaires (REFAMP) et de la coalition des femmes pour la paix et la reconstruction en Centrafrique.
Interrogé sur la représentation théâtrale produite à l’intention des élèves et leurs professeurs, Fatou Songomalet, titulaire d’un master II en Gestion des Affaires, un des membres de cette troupe théâtrale a expliqué qu'en sa qualité d’ancienne étudiante, elle a connu ce phénomène du harcèlement sexuel.
Elle a souligné qu’elle a bien mimé son rôle d’une fille harcelée par son professeur, qui en plus de son enseignant à harceler à son tour une collègue de classe. Ce dernier a eu toutes les difficultés de ce monde et n’a dû son salut que grâce à l’intervention du proviseur.
Selon elle, l’objectif de cette représentation théâtrale n’est pas seulement de faire rire les élèves, mais de les amener à comprendre les conséquences du harcèlement sexuel sur leur avenir.
Un autre artiste/comédien, Igor-Justin a fait savoir que le harcèlement sexuel n’est pas seulement l’apanage des enseignants. Les élèves et surtout les filles poussent aussi, par leur habillement les professeurs à commettre ce forfait tant décrié aujourd’hui.
« C’est notre rôle, nous comédiens de faire passer un message à travers les sketches que nous produisons afin de conscientiser les élèves et leurs enseignants sur ce qui se fait réellement au sein des établissements scolaires et universitaires.
Il convient de rappeler que durant ces deux jours de sensibilisation, nombreux sont les étudiants qui ont posé de bonnes questions afin que par les réponses des organisateurs, leurs cadets puissent appréhender ce qui signifie la santé sexuelle et reproductive, et le harcèlement sexuel en milieu scolaire.
Interrogé sur la représentation théâtrale produite à l’intention des élèves et leurs professeurs, Fatou Songomalet, titulaire d’un master II en Gestion des Affaires, un des membres de cette troupe théâtrale a expliqué qu'en sa qualité d’ancienne étudiante, elle a connu ce phénomène du harcèlement sexuel.
Elle a souligné qu’elle a bien mimé son rôle d’une fille harcelée par son professeur, qui en plus de son enseignant à harceler à son tour une collègue de classe. Ce dernier a eu toutes les difficultés de ce monde et n’a dû son salut que grâce à l’intervention du proviseur.
Selon elle, l’objectif de cette représentation théâtrale n’est pas seulement de faire rire les élèves, mais de les amener à comprendre les conséquences du harcèlement sexuel sur leur avenir.
Un autre artiste/comédien, Igor-Justin a fait savoir que le harcèlement sexuel n’est pas seulement l’apanage des enseignants. Les élèves et surtout les filles poussent aussi, par leur habillement les professeurs à commettre ce forfait tant décrié aujourd’hui.
« C’est notre rôle, nous comédiens de faire passer un message à travers les sketches que nous produisons afin de conscientiser les élèves et leurs enseignants sur ce qui se fait réellement au sein des établissements scolaires et universitaires.
Il convient de rappeler que durant ces deux jours de sensibilisation, nombreux sont les étudiants qui ont posé de bonnes questions afin que par les réponses des organisateurs, leurs cadets puissent appréhender ce qui signifie la santé sexuelle et reproductive, et le harcèlement sexuel en milieu scolaire.