Bangui, 20 sept (ACAP) - Les travaux de l’atelier d’écriture poétique , organisé par la coordination nationale de l’association Festilivres Centrafrique à l’intention des hommes de lettres centrafricains pour une durée de 5 jours, ont pris fin samedi 20 septembre 2008 à Bangui, en présence du Chargé de mission en matière de culture, M. Bruno Yapandé et du directeur de l’Alliance Française de Bangui M. Stéphane Joly.
« La poésie est et demeure un vecteur certain d’unité nationale et de paix. Car elle tire ses sources et ses racines dans nos langues, dont le Sango notre langue nationale et dans les us et coutumes de tous les horizons », a déclaré Mme Jeanne de Chantal Wodobodé.
« Elle occupe une importante place dans l’évolution économique non seulement des artistes, mais aussi de leur pays. C’est pourquoi l’absence d’une maison d’édition en Centrafrique constitue un manque à gagner notable pour l’économie nationale et pour les artistes », a-t-elle ajouté.
Pour la coordonnatrice de l’association Festilivres Centrafrique, la poésie joue un rôle d’éducation et de formation au sein de la société. C’est pourquoi au cours de cet atelier, des exercices d’émulation et de création poétique ont été orientés sur des thèmes relatifs à culture de la paix et à l’environnement.
Pour le Chargé de mission en matière de culture M. Bruno Yapandé, la tenue de cet atelier s’inscrit parfaitement dans « la politique agressive de renforcement des capacités des opérateurs culturels », mise en place par le département de tutelle.
Il a en outre invité les autres structures culturelles à emboîter le pas à l’association Festilivres et à l’Association des écrivains centrafricains (Aeca), pour un meilleur encadrement des acteurs culturels et des hommes de lettres centrafricains.
Il convient de rappeler que l’objectif de cet atelier était de renforcer les capacités des hommes des arts, de la communication, de la culture et des lettres, assurer une production artistique et littéraire de qualité amener l’écrivain à appréhender la poésie non seulement comme une manière de prolonger la condition humaine dans ce qu’elle a de beau, de tragique et d’insaisissable, mais également comme un atout majeur pour son développement économique et celui du pays tout entier.
« La poésie est et demeure un vecteur certain d’unité nationale et de paix. Car elle tire ses sources et ses racines dans nos langues, dont le Sango notre langue nationale et dans les us et coutumes de tous les horizons », a déclaré Mme Jeanne de Chantal Wodobodé.
« Elle occupe une importante place dans l’évolution économique non seulement des artistes, mais aussi de leur pays. C’est pourquoi l’absence d’une maison d’édition en Centrafrique constitue un manque à gagner notable pour l’économie nationale et pour les artistes », a-t-elle ajouté.
Pour la coordonnatrice de l’association Festilivres Centrafrique, la poésie joue un rôle d’éducation et de formation au sein de la société. C’est pourquoi au cours de cet atelier, des exercices d’émulation et de création poétique ont été orientés sur des thèmes relatifs à culture de la paix et à l’environnement.
Pour le Chargé de mission en matière de culture M. Bruno Yapandé, la tenue de cet atelier s’inscrit parfaitement dans « la politique agressive de renforcement des capacités des opérateurs culturels », mise en place par le département de tutelle.
Il a en outre invité les autres structures culturelles à emboîter le pas à l’association Festilivres et à l’Association des écrivains centrafricains (Aeca), pour un meilleur encadrement des acteurs culturels et des hommes de lettres centrafricains.
Il convient de rappeler que l’objectif de cet atelier était de renforcer les capacités des hommes des arts, de la communication, de la culture et des lettres, assurer une production artistique et littéraire de qualité amener l’écrivain à appréhender la poésie non seulement comme une manière de prolonger la condition humaine dans ce qu’elle a de beau, de tragique et d’insaisissable, mais également comme un atout majeur pour son développement économique et celui du pays tout entier.