Cette formation qui s’inscrit dans le cadre du projet d’assistance d’urgence aux jeunes ex-combattants démobilisés pour la relance agricole est d’outiller plus de 3.000 jeunes de Bangui, Bambari et Bouar en technique culturale dans le domaine du maraîchage.
Le Haut-commissaire Cyriaque Souké a expliqué que c’est en partenariat avec l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) qui est le maître d’ouvrage que la JPN a décidé de former ces jeunes dans le domaine de l’agriculture, le seul débouché de grande envergure devant absorber tous les désœuvrés ainsi que les diplômés sans emploi.
Il a indiqué qu'une équipe conjointe FAO/JPN sera mise en place pour superviser le suivi et l'évaluation du projet pour s’assurer que les kits agricoles remis aux bénéficiaires ont été utilisés à bon escient.
Selon lui, si ce projet pilote est probant, cela permettra aux donateurs d’appuyer davantage la FAO et la JPN en vue de l'étendre aux jeunes des autres préfectures ou régions.
L’une des bénéficiaires, Tatiana Ragba, a salué cette initiative de la FAO qui permet aux ex-combattants de se réintégrer facilement dans la société plus tôt que de recourir au banditisme pour survivre.
Elle a invité les jeunes désoeuvrés à apprendre des petits métiers susceptibles de leur procurer le bien-être.
Il convient de rappeler que ce projet initié par la FAO a une durée de 12 mois.
Le Haut-commissaire Cyriaque Souké a expliqué que c’est en partenariat avec l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) qui est le maître d’ouvrage que la JPN a décidé de former ces jeunes dans le domaine de l’agriculture, le seul débouché de grande envergure devant absorber tous les désœuvrés ainsi que les diplômés sans emploi.
Il a indiqué qu'une équipe conjointe FAO/JPN sera mise en place pour superviser le suivi et l'évaluation du projet pour s’assurer que les kits agricoles remis aux bénéficiaires ont été utilisés à bon escient.
Selon lui, si ce projet pilote est probant, cela permettra aux donateurs d’appuyer davantage la FAO et la JPN en vue de l'étendre aux jeunes des autres préfectures ou régions.
L’une des bénéficiaires, Tatiana Ragba, a salué cette initiative de la FAO qui permet aux ex-combattants de se réintégrer facilement dans la société plus tôt que de recourir au banditisme pour survivre.
Elle a invité les jeunes désoeuvrés à apprendre des petits métiers susceptibles de leur procurer le bien-être.
Il convient de rappeler que ce projet initié par la FAO a une durée de 12 mois.