Dans un discours d’environ 2 heures, le chef du gouvernement s’est efforcé de montrer pourquoi les objectifs prioritaires du gouvernement s’articulent autour de quatre axes, à savoir le renforcement de la sécurité et la consolidation de la paix ; le renforcement de la bonne gouvernance et la promotion des droits de l’homme ; la stabilisation macroéconomique ; la reconstruction des infrastructures de base et la relance des secteurs productifs et sociaux.
Pour Faustin Archange Touadéra, le programme du gouvernement est placé sous le signe de la consolidation des bases d’une croissance de qualité et de lutte contre la pauvreté dans un contexte de gestion rigoureuse orientée sur les résultats.
Le chef du gouvernement s’est également fait l’écho de ses nombreux compatriotes scandalisés par la perception qu’ils ont du phénomène de la corruption et de la fraude de tous genres et à tous les niveaux de notre administration, promettant de s’attaquer de front à ce phénomène par la mise en œuvre des recommandations des Etats Généraux de la justice organisés en octobre 2007.
« Mon ambition sera d’abord de fixer au Gouvernement des objectifs clairs, de mobiliser toutes les énergies, de poursuivre et d’approfondir les réformes, de moderniser l’appareil d’Etat et l’économie nationale, bref de dynamiser le processus de création de richesses », a déclaré M. Touadéra, précisant vouloir « placer l’action publique sous le triple signe de la rigueur, de l’audace et de la créativité ».
Nommé le 22 janvier dernier, après près de 4 années d’exercice comme recteur de l’université de Bangui, le Premier ministre Faustin Archange Touadéra disposait de 60 jours, prévus par la Constitution, pour présenter devant l’Assemblée Nationale son programme de politique générale.
Pour Faustin Archange Touadéra, le programme du gouvernement est placé sous le signe de la consolidation des bases d’une croissance de qualité et de lutte contre la pauvreté dans un contexte de gestion rigoureuse orientée sur les résultats.
Le chef du gouvernement s’est également fait l’écho de ses nombreux compatriotes scandalisés par la perception qu’ils ont du phénomène de la corruption et de la fraude de tous genres et à tous les niveaux de notre administration, promettant de s’attaquer de front à ce phénomène par la mise en œuvre des recommandations des Etats Généraux de la justice organisés en octobre 2007.
« Mon ambition sera d’abord de fixer au Gouvernement des objectifs clairs, de mobiliser toutes les énergies, de poursuivre et d’approfondir les réformes, de moderniser l’appareil d’Etat et l’économie nationale, bref de dynamiser le processus de création de richesses », a déclaré M. Touadéra, précisant vouloir « placer l’action publique sous le triple signe de la rigueur, de l’audace et de la créativité ».
Nommé le 22 janvier dernier, après près de 4 années d’exercice comme recteur de l’université de Bangui, le Premier ministre Faustin Archange Touadéra disposait de 60 jours, prévus par la Constitution, pour présenter devant l’Assemblée Nationale son programme de politique générale.