
Les femmes leaders et vladimir Monteiro
Dans ses propos liminaires, Vladimir Monteiro a fait état de la reprise des hostilités à Ndélé et a indiqué que les membres du G5 ont condamné la recrudescence des affrontements fratricides entre les différentes fractions du FPRC ayant conduit à la mort d’un personnel de la MINUSCA et des habitants de la localité.
Le porte-parole a souligné que c’est avec satisfaction que la MINUSCA a pris note de l’élection des quatre femmes au poste de 3ème et 4ème Vice-présidente du 2ème secrétaire et 4ème membre lors du renouvèlement des membres du bureau de l’Assemblée Nationale le 7 mars dernier.
Selon lui, conformément à son mandat, la MINUSCA va continuer à soutenir les autorités centrafricaines à garantir la participation et la représentation des femmes dans toutes les institutions de la République.
En abordant la question du genre, la Conseillère en Genre de la MINUSCA,
Gladys Antiga a présenté les différentes résolutions du Conseil de Sécurité des Nations-Unies qui traitent le rôle de la femme dans les résolutions des crises et la recherche de la paix, qui passe par la justice transitionnelle.
Selon elle, c’est par rapport à ces résolutions que la MINUSCA s’est toujours investie pour appuyer le gouvernement à mettre en œuvre sa stratégie nationale de la promotion de l’égalité et de l’équité du genre.
De son côté, la Coordonnatrice du Réseau des Femmes leaders pour la transformation de l’Afrique, Léa Koyassoum-Doumta-Mboua a expliqué que l’objectif de son réseau est que les femmes à tous les niveaux, puissent contribuer à l’atteinte des objectifs du développement durable (ODD) ainsi que de la vision de l’Union Africaine en la matière.
Elle a mis en exergue le rôle joué par ce réseau des femmes avant, pendant et après la signature de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique notamment, dans la sensibilisation sur l’initiative africaine de paix et la vulgarisation dudit accord dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine.
La Vice-présidente du Forum national des Femmes de la Conférence internationale pour la Région des Grands Lacs (CIRGL), Marie-Madeleine Moussa Yadouma, en sa qualité de Présidente du lobbying des femmes leaders, a pour sa part indiqué que la mission de leur mouvement consiste à pousser les femmes à s’impliquer dans le processus électoral.
Elle a présenté les différents travaux de lobbying que les femmes ont mené pour obtenir des partis politiques l’obligation de présenter 35% des candidates dans le nouveau mode de scrutin et surtout comment faire pour que les femmes puissent s’intéresser à la politique.
Il convient de rappeler que ce combat de lobbying des femmes va se poursuivre tant que le décret d’application sur la loi de la parité n’est pas encore signer.
Le porte-parole a souligné que c’est avec satisfaction que la MINUSCA a pris note de l’élection des quatre femmes au poste de 3ème et 4ème Vice-présidente du 2ème secrétaire et 4ème membre lors du renouvèlement des membres du bureau de l’Assemblée Nationale le 7 mars dernier.
Selon lui, conformément à son mandat, la MINUSCA va continuer à soutenir les autorités centrafricaines à garantir la participation et la représentation des femmes dans toutes les institutions de la République.
En abordant la question du genre, la Conseillère en Genre de la MINUSCA,
Gladys Antiga a présenté les différentes résolutions du Conseil de Sécurité des Nations-Unies qui traitent le rôle de la femme dans les résolutions des crises et la recherche de la paix, qui passe par la justice transitionnelle.
Selon elle, c’est par rapport à ces résolutions que la MINUSCA s’est toujours investie pour appuyer le gouvernement à mettre en œuvre sa stratégie nationale de la promotion de l’égalité et de l’équité du genre.
De son côté, la Coordonnatrice du Réseau des Femmes leaders pour la transformation de l’Afrique, Léa Koyassoum-Doumta-Mboua a expliqué que l’objectif de son réseau est que les femmes à tous les niveaux, puissent contribuer à l’atteinte des objectifs du développement durable (ODD) ainsi que de la vision de l’Union Africaine en la matière.
Elle a mis en exergue le rôle joué par ce réseau des femmes avant, pendant et après la signature de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique notamment, dans la sensibilisation sur l’initiative africaine de paix et la vulgarisation dudit accord dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine.
La Vice-présidente du Forum national des Femmes de la Conférence internationale pour la Région des Grands Lacs (CIRGL), Marie-Madeleine Moussa Yadouma, en sa qualité de Présidente du lobbying des femmes leaders, a pour sa part indiqué que la mission de leur mouvement consiste à pousser les femmes à s’impliquer dans le processus électoral.
Elle a présenté les différents travaux de lobbying que les femmes ont mené pour obtenir des partis politiques l’obligation de présenter 35% des candidates dans le nouveau mode de scrutin et surtout comment faire pour que les femmes puissent s’intéresser à la politique.
Il convient de rappeler que ce combat de lobbying des femmes va se poursuivre tant que le décret d’application sur la loi de la parité n’est pas encore signer.