Cette opération de distribution a pour objectifs de permettre aux réfugiés congolais de se nourrir durant à peu près 60 jours une part et de disposer d’outils indispensables à leurs conditions d’existence sur le site de Batalimo.
Les vivres comprennent 145.560 tonnes de farine de maïs, 18.195 tonnes de CSB sucrée (farine de maïs mélangée avec sucre et du lait, 21.835 tonnes de haricot, 9.097 tonnes d’huile, 1.819 tonnes de sel, du sucre, du riz, soit au total à peu près 197 tonnes de produits alimentaires.
Les dons non alimentaires concernent 23.000 morceaux de savon, 3.400 moustiquaires, 3.400 nattes, 3.400 jerricanes pour conserver l’eau, des couvertures, des garnitures, 1.800 kits de cuisine comprenant chacun cinq assiettes, cinq gobelets, cinq cuillères, deux marmites, un couteau et 3.400 seaux estampillés HCR.
D’après M. Engombé Stéphane, administrateur de la Commission Nationale pour les Réfugiés (CNR), la gestion des réfugiés congolais a été maîtrisée grâce à une formation dont les représentants nationaux ont bénéficié de la part d’experts venus de Genève à cet effet, surtout que la République Centrafricaine est partie signataire des conventions qui la lient avec les Nations Unies d’une part, au regard de la Convention de Genève de 1951, et avec l’Union Africaine d’autre part, conformément à la Convention de l’Organisation de l’Union Africaine (OUA) de 1969, destinés à la gestion des réfugiés.
Pour rappel, Mme Christ-Nathalie Mbodikéna, responsable HCR Batalimo a fait savoir que les réfugiés congolais de la République Démocratique du Congo ont foulé le sol centrafricain entre novembre et décembre 2009, à la suite des conflits interethniques dans leur pays d’origine.
Au regard de son mandat et des données techniques disponibles sur les ménages, le HCR assure l’assistance et la protection des réfugiés congolais, à qui des vivres et des non-vivres sont distribués tous les deux mois.
Pour accueillir les réfugiés, le site de Batalimo a été aménagé et des allées ont permis de spécifier clairement les dix huit blocs qui sont également comme des quartiers sur le site.
D’après les règles d’accueil des réfugiés, le site des réfugiés de Batalimo se situe à trois kilomètres de la bourgade même de Batalimo et il est proche d’un cours d’eau. Les populations de ce site ont un accès facile à un centre de santé. Les malades peuvent être évacués sur M’Baïki ou Bangui. Des ambulances, gérées par une ONG anglaise, Marlin, sont disponibles pour ces opérations.
Sur le plan éducatif, le site des réfugiés de Batalimo comprend deux écoles primaires, deux écoles secondaires et une école maternelle. Les programmes scolaires sont celles conçus et dispensés sur le territoire de la République démocratique du Congo. Les enseignants, eux, sont congolais. Selon des informations recueillies sur-place, les élèves qui ont obtenu leur baccalauréat l’année dernière dans le camp sont retournés le pays d’origine afin de poursuivre les études supérieures.
Un des critères indispensables pour la sécurité des réfugiés est la présence des forces de défense et de sécurité à Batalimo.
Les partenaires impliqués dans l’assistance et la protection des réfugiés congolais, aux côtés du HCR à Batalimo sont : COOPI pour le volet éducation, culture, sport, agriculture, activités génératrices de revenus et abris des réfugiés de plus de 60 ans ; le Programme Alimentaire Mondiale pour les vivres et Merlin.
Pour l’heure, l’engouement des réfugiés congolais pour le rapatriement volontaire est très prononcé.
Les vivres comprennent 145.560 tonnes de farine de maïs, 18.195 tonnes de CSB sucrée (farine de maïs mélangée avec sucre et du lait, 21.835 tonnes de haricot, 9.097 tonnes d’huile, 1.819 tonnes de sel, du sucre, du riz, soit au total à peu près 197 tonnes de produits alimentaires.
Les dons non alimentaires concernent 23.000 morceaux de savon, 3.400 moustiquaires, 3.400 nattes, 3.400 jerricanes pour conserver l’eau, des couvertures, des garnitures, 1.800 kits de cuisine comprenant chacun cinq assiettes, cinq gobelets, cinq cuillères, deux marmites, un couteau et 3.400 seaux estampillés HCR.
D’après M. Engombé Stéphane, administrateur de la Commission Nationale pour les Réfugiés (CNR), la gestion des réfugiés congolais a été maîtrisée grâce à une formation dont les représentants nationaux ont bénéficié de la part d’experts venus de Genève à cet effet, surtout que la République Centrafricaine est partie signataire des conventions qui la lient avec les Nations Unies d’une part, au regard de la Convention de Genève de 1951, et avec l’Union Africaine d’autre part, conformément à la Convention de l’Organisation de l’Union Africaine (OUA) de 1969, destinés à la gestion des réfugiés.
Pour rappel, Mme Christ-Nathalie Mbodikéna, responsable HCR Batalimo a fait savoir que les réfugiés congolais de la République Démocratique du Congo ont foulé le sol centrafricain entre novembre et décembre 2009, à la suite des conflits interethniques dans leur pays d’origine.
Au regard de son mandat et des données techniques disponibles sur les ménages, le HCR assure l’assistance et la protection des réfugiés congolais, à qui des vivres et des non-vivres sont distribués tous les deux mois.
Pour accueillir les réfugiés, le site de Batalimo a été aménagé et des allées ont permis de spécifier clairement les dix huit blocs qui sont également comme des quartiers sur le site.
D’après les règles d’accueil des réfugiés, le site des réfugiés de Batalimo se situe à trois kilomètres de la bourgade même de Batalimo et il est proche d’un cours d’eau. Les populations de ce site ont un accès facile à un centre de santé. Les malades peuvent être évacués sur M’Baïki ou Bangui. Des ambulances, gérées par une ONG anglaise, Marlin, sont disponibles pour ces opérations.
Sur le plan éducatif, le site des réfugiés de Batalimo comprend deux écoles primaires, deux écoles secondaires et une école maternelle. Les programmes scolaires sont celles conçus et dispensés sur le territoire de la République démocratique du Congo. Les enseignants, eux, sont congolais. Selon des informations recueillies sur-place, les élèves qui ont obtenu leur baccalauréat l’année dernière dans le camp sont retournés le pays d’origine afin de poursuivre les études supérieures.
Un des critères indispensables pour la sécurité des réfugiés est la présence des forces de défense et de sécurité à Batalimo.
Les partenaires impliqués dans l’assistance et la protection des réfugiés congolais, aux côtés du HCR à Batalimo sont : COOPI pour le volet éducation, culture, sport, agriculture, activités génératrices de revenus et abris des réfugiés de plus de 60 ans ; le Programme Alimentaire Mondiale pour les vivres et Merlin.
Pour l’heure, l’engouement des réfugiés congolais pour le rapatriement volontaire est très prononcé.