Cette découverte, publiée dans le numéro de Science paru le 15 août, suggère clairement que le trait contribue fortement au risque de cancer colorectal et est probablement la cause la plus commune de celui-ci jusqu'ici.
Si une personne hérite de ce trait, qui est dominant dans certaines familles, l'étude indique que le risque qu'elle a de développer le cancer colorectal est de 50% contre 6% pour la population générale.
Le cancer colorectal est la seconde cause de mort par cancer aux Etats-Unis et un tiers des cancers colorectaux sont hérités.
Ces conclusions, qui se basent sur une population caucasienne, devront être confirmées par d'autres études et pourraient donner à observer d'importantes variations selon les groupes ethniques, a affirmé Boris Pasche de l'Université du Nord-Ouest, un des principaux auteurs de l'étude.
M. Pasche escompte qu'un test clinique sera bientôt développé, qui pourrait être offert aux familles ayant des antécédents de cancer colorectal et à d'autres individus afin de déterminer s'ils portent cette mutation.
Si une personne hérite de ce trait, qui est dominant dans certaines familles, l'étude indique que le risque qu'elle a de développer le cancer colorectal est de 50% contre 6% pour la population générale.
Le cancer colorectal est la seconde cause de mort par cancer aux Etats-Unis et un tiers des cancers colorectaux sont hérités.
Ces conclusions, qui se basent sur une population caucasienne, devront être confirmées par d'autres études et pourraient donner à observer d'importantes variations selon les groupes ethniques, a affirmé Boris Pasche de l'Université du Nord-Ouest, un des principaux auteurs de l'étude.
M. Pasche escompte qu'un test clinique sera bientôt développé, qui pourrait être offert aux familles ayant des antécédents de cancer colorectal et à d'autres individus afin de déterminer s'ils portent cette mutation.