L’objectif de cet atelier de deux jours est de permettre aux participants de comprendre le Code d’éthique et de bonne conduite des Douanes centrafricaines afin de développer un partenariat constructif, quand bien même les opérateurs économiques ont été victimes des effets pervers de la crise qui a secoué la République Centrafricaine entre 2013 et 2014.
De l’avis du Directeur de cabinet du Ministère des Finances et du Budget, il est intéressant que les Douanes centrafricaines accentuent la communication à l’endroit des opérateurs économiques dans le but de mutualiser les efforts avec les administrations douanières.
A l’issue des travaux, les participants ont recommandé l’augmentation de l’effectif des douaniers ; leur dotation en outils adéquats de travail et le respect des dispositions du Code par les opérateurs économiques.
Le Code d’éthique et de bonne conduite des Douanes centrafricaines est un ouvrage de 20 pages. Il comporte un préambule, des définitions du code, le champ d’application du code, le respect de l’éthique, le cadre légal et réglementaire de l’exécution du service des Douanes, le rapport avec les usagers du service et les opérateurs économiques.
Plus loin, le document comporte l’utilisation des ressources de l’Etat, l’acquisition des marchandises saisies, la gestion des fonds publics, crédits de fonctionnement et autres, la communication, le milieu du travail, la gestion des ressources humaines, le mécanisme de prévention et de contrôle de la corruption au sein de la Douane, les sanctions en cas de violation des règles d’éthiques et de conduite, enfin, les dispositions finales.
Il est à noter que la vulgarisation du Code d’éthique et de bonne conduite des Douanes centrafricaines, après les membres du Collectif des Petites et Moyennes Entreprises (CPMEC), ceux de l’Association des Entrepreneurs et Artisans de Centrafrique (ANEAC) ainsi que le Mouvement des Entrepreneurs de Centrafrique (MEDEC) s’étendra aux Bouba nguéré ou commerçants du secteur informel.
De l’avis du Directeur de cabinet du Ministère des Finances et du Budget, il est intéressant que les Douanes centrafricaines accentuent la communication à l’endroit des opérateurs économiques dans le but de mutualiser les efforts avec les administrations douanières.
A l’issue des travaux, les participants ont recommandé l’augmentation de l’effectif des douaniers ; leur dotation en outils adéquats de travail et le respect des dispositions du Code par les opérateurs économiques.
Le Code d’éthique et de bonne conduite des Douanes centrafricaines est un ouvrage de 20 pages. Il comporte un préambule, des définitions du code, le champ d’application du code, le respect de l’éthique, le cadre légal et réglementaire de l’exécution du service des Douanes, le rapport avec les usagers du service et les opérateurs économiques.
Plus loin, le document comporte l’utilisation des ressources de l’Etat, l’acquisition des marchandises saisies, la gestion des fonds publics, crédits de fonctionnement et autres, la communication, le milieu du travail, la gestion des ressources humaines, le mécanisme de prévention et de contrôle de la corruption au sein de la Douane, les sanctions en cas de violation des règles d’éthiques et de conduite, enfin, les dispositions finales.
Il est à noter que la vulgarisation du Code d’éthique et de bonne conduite des Douanes centrafricaines, après les membres du Collectif des Petites et Moyennes Entreprises (CPMEC), ceux de l’Association des Entrepreneurs et Artisans de Centrafrique (ANEAC) ainsi que le Mouvement des Entrepreneurs de Centrafrique (MEDEC) s’étendra aux Bouba nguéré ou commerçants du secteur informel.