
L’objectif de cet atelier est de sensibiliser les leaders des organisations syndicales sur les dispositions de santé et de sécurité à prendre en milieu de travail, pour la continuité des activités des Travaux à Haute Intensité de la Main d’Œuvre (THIMO) en cette période de la pandémie de la COVID-19.
Le Directeur de cabinet, Charles Siangué a indiqué que selon les statistiques du Bureau International du Travail (BIT) du mois d’avril 2020, les mesures de confinement totales ou partielles ont touché près de 2,7 milliards de travailleurs représentant environ 81% de la main-d’œuvre mondiale. C’est donc une crise à la fois sanitaire, économique, et sociale qui influence l’emploi et le marché du travail.
Il a souligné qu’en ce qui concerne la République Centrafricaine, après la signature de l’Accord Politique de Paix et de Réconciliation Nationale du 06 février 2019, les activités d’infrastructures plus particulièrement les travaux à haute intensité de la main d’œuvre, ont quelques part connu un ralentissement considérable.
« Le projet pilote de consolidation de paix et de création d’emplois décents et productif a apporté une contribution considérable dans la promotion des approches THIMO en RCA, mais également le renforcement de capacités des ingénieurs du secteur Bâtiments et Travaux Publics (BTP) où une cinquantaine de jeunes de Bimbo3 et de PK5 dans la construction des bâtiments et d’entretien routier », a fait savoir le directeur de cabinet Charles Siangué.
Pour lui, le gouvernement a exprimé sa reconnaissance aux organisations des travailleurs qui n’ont cessé d’appuyer les dispositifs de riposte contre la pandémie du COVID19 dans le milieu du travail à travers les campagnes de sensibilisation, et de communication.
Quant au représentant du Bureau International du Travail en Centrafrique, Patrick Somsé, la République Centrafricaine est dans la même situation de crises sanitaires que les autres pays du monde qui risquent d’impacter négativement le rythme du travail et la croissance économique en RCA, il est important de prendre des mesures afin d’éviter le pire de ces crises.
« Le Bureau International du Travail veut impliquer ces acteurs dans la lutte contre la COVID-19 afin de permettre à chacun de participer sans risque dans cette campagne », a conclu Patrick Somsé.
Il faut noter que cet atelier d’une journée a regroupé une vingtaine des organisations professionnelles et quelques membres du cabinet du ministre du Travail.
Le Directeur de cabinet, Charles Siangué a indiqué que selon les statistiques du Bureau International du Travail (BIT) du mois d’avril 2020, les mesures de confinement totales ou partielles ont touché près de 2,7 milliards de travailleurs représentant environ 81% de la main-d’œuvre mondiale. C’est donc une crise à la fois sanitaire, économique, et sociale qui influence l’emploi et le marché du travail.
Il a souligné qu’en ce qui concerne la République Centrafricaine, après la signature de l’Accord Politique de Paix et de Réconciliation Nationale du 06 février 2019, les activités d’infrastructures plus particulièrement les travaux à haute intensité de la main d’œuvre, ont quelques part connu un ralentissement considérable.
« Le projet pilote de consolidation de paix et de création d’emplois décents et productif a apporté une contribution considérable dans la promotion des approches THIMO en RCA, mais également le renforcement de capacités des ingénieurs du secteur Bâtiments et Travaux Publics (BTP) où une cinquantaine de jeunes de Bimbo3 et de PK5 dans la construction des bâtiments et d’entretien routier », a fait savoir le directeur de cabinet Charles Siangué.
Pour lui, le gouvernement a exprimé sa reconnaissance aux organisations des travailleurs qui n’ont cessé d’appuyer les dispositifs de riposte contre la pandémie du COVID19 dans le milieu du travail à travers les campagnes de sensibilisation, et de communication.
Quant au représentant du Bureau International du Travail en Centrafrique, Patrick Somsé, la République Centrafricaine est dans la même situation de crises sanitaires que les autres pays du monde qui risquent d’impacter négativement le rythme du travail et la croissance économique en RCA, il est important de prendre des mesures afin d’éviter le pire de ces crises.
« Le Bureau International du Travail veut impliquer ces acteurs dans la lutte contre la COVID-19 afin de permettre à chacun de participer sans risque dans cette campagne », a conclu Patrick Somsé.
Il faut noter que cet atelier d’une journée a regroupé une vingtaine des organisations professionnelles et quelques membres du cabinet du ministre du Travail.