Sylvain Dongba-Ketté dans le poulailler de son association les 'Jeunes batisseurs de la Paix', à Bégoua
Selon un communiqué de presse d'Oxfam, le projet dénommé 3x6 élaboré par ses soins a permis aux bénéficiaires de créer dix-neuf petits commerces, spécifiquement de fabrication de savon, d'ateliers de couture, d’élevage de poulets, de maraîchage, etc.
D'après le communiqué, le projet vise deux objectifs qui sont : appuyer la relance économique dans un pays où une grande majorité de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, et offrir des opportunités aux plus vulnérables.
Toujours d'après le communiqué, la mise en œuvre du projet 3x6 a permis à plus de 300 jeunes sans emploi de s'offrir un travail plutôt que de basculer dans le banditisme ou d’être recrutés par des groupes armés.
Financé par le gouvernement japonais à hauteur de 113 millions de francs CFA (environ 194.000 dollars) et le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) pour un montant d'à peu près 42 millions de francs CFA (77.000 dollars), ce programme lancé en octobre 2017 est arrivé à terme fin mars 2019. Il s'était déroulé en trois phases comprenant l’épargne de capital, la promotion des emplois temporaires, la structuration des groupements et leur mise en œuvre.
Les trois phases ont été réparties chacune en six étapes incluant la sensibilisation, l’aide pour accéder au crédit et la création de l’emploi durable.
Le modèle de ce programme a été très apprécié par les communautés, par la restauration d'un climat de confiance et en apparaissant comme un réel levier socioéconomique. Ce qui a fait dire à Mass Bwikanye, le responsable du Programme action humanitaire d’Oxfam en Centrafrique, que "ce modèle innovant est un succès". Il a exhorté les bailleurs de fonds et certaines ONG nationales ou internationales à vulgariser de tels programmes sur l’ensemble du territoire national.
Pour rappel, Oxfam est une confédération internationale de 19 organisations intervenant dans plus de 90 pays dans le monde, avec un double mandat humanitaire et de développement. Elle est présente en Centrafrique depuis janvier 2014 et intervient dans les domaines WASH (eau, assainissement et hygiène), FSL (sécurité alimentaire et moyens d’existence) et protection.
D'après le communiqué, le projet vise deux objectifs qui sont : appuyer la relance économique dans un pays où une grande majorité de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, et offrir des opportunités aux plus vulnérables.
Toujours d'après le communiqué, la mise en œuvre du projet 3x6 a permis à plus de 300 jeunes sans emploi de s'offrir un travail plutôt que de basculer dans le banditisme ou d’être recrutés par des groupes armés.
Financé par le gouvernement japonais à hauteur de 113 millions de francs CFA (environ 194.000 dollars) et le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) pour un montant d'à peu près 42 millions de francs CFA (77.000 dollars), ce programme lancé en octobre 2017 est arrivé à terme fin mars 2019. Il s'était déroulé en trois phases comprenant l’épargne de capital, la promotion des emplois temporaires, la structuration des groupements et leur mise en œuvre.
Les trois phases ont été réparties chacune en six étapes incluant la sensibilisation, l’aide pour accéder au crédit et la création de l’emploi durable.
Le modèle de ce programme a été très apprécié par les communautés, par la restauration d'un climat de confiance et en apparaissant comme un réel levier socioéconomique. Ce qui a fait dire à Mass Bwikanye, le responsable du Programme action humanitaire d’Oxfam en Centrafrique, que "ce modèle innovant est un succès". Il a exhorté les bailleurs de fonds et certaines ONG nationales ou internationales à vulgariser de tels programmes sur l’ensemble du territoire national.
Pour rappel, Oxfam est une confédération internationale de 19 organisations intervenant dans plus de 90 pays dans le monde, avec un double mandat humanitaire et de développement. Elle est présente en Centrafrique depuis janvier 2014 et intervient dans les domaines WASH (eau, assainissement et hygiène), FSL (sécurité alimentaire et moyens d’existence) et protection.