Une vue partielle de la scène du procès fictif
L'objectif de cet exercice, qui se rapporte au vingtième anniversaire du Statut de Rome (1998-2018), est de faire prendre conscience aux étudiants ainsi qu'aux enseignants du rôle de la CPI.
Il est reproché à l'accusé, durant un temps donné, d'avoir entretenu une rébellion au cours de laquelle ses éléments ont tué, pillé et incendié des maisons, violé des filles et des femmes. Des enfants, à qui il est donné des stupéfiants, ont également été enrôlés.
La présidente de la Cour, une étudiante, sereine, distribuait à tour de rôle les temps de parole, acceptait ou rejetait les motions. Le procureur, un autre étudiant, s'est employé avec son équipe à soutenir l'accusation, tandis que les avocats de l'accusé, démontaient, les allégations de l'accusation.
Les rapports des ONG humanitaires et les contributions des experts étaient versés au dossier et commentés comme éléments d'accusation ou de contradiction.
A la fin du procès, l'accusé à été condamné à une peine lourde, conformément à la vision de la CPI qui a vu le jour, suite à l'adoption du Statut de Rome, pour combattre les auteurs des crimes contre l'humanité et les crimes de guerre.
La scène s'était traduite en réalité grâce à l'Université de Bangui et à la représentation en République Centrafricaine de la CPI, avec le soutien matériel de l'Union Européenne, Fox Security, Powers Sécurité, le garage Maxime, Air France, Orange Centrafrique et CFAO, lesquels ont proposé différents prix aux acteurs.
Il est à noter que la République Centrafricaine a ratifié le Statut de Rome en 2001. Par deux fois, ses autorités ont saisi la CPI, premièrement en 2004 dans l'affaire Bemba, dont le procès se poursuit encore, et deuxièmement, en 2014, par rapport aux atrocités commises par des Séléka et des antibalaka.
Il est reproché à l'accusé, durant un temps donné, d'avoir entretenu une rébellion au cours de laquelle ses éléments ont tué, pillé et incendié des maisons, violé des filles et des femmes. Des enfants, à qui il est donné des stupéfiants, ont également été enrôlés.
La présidente de la Cour, une étudiante, sereine, distribuait à tour de rôle les temps de parole, acceptait ou rejetait les motions. Le procureur, un autre étudiant, s'est employé avec son équipe à soutenir l'accusation, tandis que les avocats de l'accusé, démontaient, les allégations de l'accusation.
Les rapports des ONG humanitaires et les contributions des experts étaient versés au dossier et commentés comme éléments d'accusation ou de contradiction.
A la fin du procès, l'accusé à été condamné à une peine lourde, conformément à la vision de la CPI qui a vu le jour, suite à l'adoption du Statut de Rome, pour combattre les auteurs des crimes contre l'humanité et les crimes de guerre.
La scène s'était traduite en réalité grâce à l'Université de Bangui et à la représentation en République Centrafricaine de la CPI, avec le soutien matériel de l'Union Européenne, Fox Security, Powers Sécurité, le garage Maxime, Air France, Orange Centrafrique et CFAO, lesquels ont proposé différents prix aux acteurs.
Il est à noter que la République Centrafricaine a ratifié le Statut de Rome en 2001. Par deux fois, ses autorités ont saisi la CPI, premièrement en 2004 dans l'affaire Bemba, dont le procès se poursuit encore, et deuxièmement, en 2014, par rapport aux atrocités commises par des Séléka et des antibalaka.