Photo de famille avec la Ministre Arlette Sombo-Dibélé
L’objectif de cet atelier est d’informer les acteurs des secteurs public et privé ainsi que les organisations non-gouvernementales sur le mécanisme de fonctionnement et de collaboration avec le Fonds vert.
Pour Arlette Sombo-Dibélé, la République Centrafricaine est partie à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), mais les projets soumis au nom de ce pays auprès du Fonds vert en vue de bénéficier des financements ne sont pas pris en considération.
Elle a relevé que « les procédures d’accès aux financements sont très longues et très complexes, ce qui a fait que beaucoup de requêtes n’ont pas abouti ».
Arlette Sombo-Dibélé a estimé que les financements du Fonds vert sont indispensables pour à la fois répondre aux effets des changements climatiques et aux questions de développement en général.
Pour bénéficier de cette opportunité, un point focal a été recruté. Celui-ci a déjà élaboré un document censé préparer les acteurs nationaux à accéder au financement du Fonds vert.
D’après la Ministre de l’Environnement, des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, le secteur public est également interpellé et devra s’organiser à travers des sous-secteurs tels que la sécurité alimentaire, le système d’approvisionnement en eau potable et l’assainissement.
Quant aux acteurs du secteur privé, ils devront se préparer, d’une part, à l’élaboration des projets, et d’autre part, à devenir des structures accréditées auprès du Fonds vert pour le Climat.
A ce titre, ils pourront gérer les financements de microprojets tandis que les autres projets, de dimensions moyenne ou autres, seront gérés par les structures internationales accréditées par le fonds
Pour Arlette Sombo-Dibélé, la République Centrafricaine est partie à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), mais les projets soumis au nom de ce pays auprès du Fonds vert en vue de bénéficier des financements ne sont pas pris en considération.
Elle a relevé que « les procédures d’accès aux financements sont très longues et très complexes, ce qui a fait que beaucoup de requêtes n’ont pas abouti ».
Arlette Sombo-Dibélé a estimé que les financements du Fonds vert sont indispensables pour à la fois répondre aux effets des changements climatiques et aux questions de développement en général.
Pour bénéficier de cette opportunité, un point focal a été recruté. Celui-ci a déjà élaboré un document censé préparer les acteurs nationaux à accéder au financement du Fonds vert.
D’après la Ministre de l’Environnement, des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, le secteur public est également interpellé et devra s’organiser à travers des sous-secteurs tels que la sécurité alimentaire, le système d’approvisionnement en eau potable et l’assainissement.
Quant aux acteurs du secteur privé, ils devront se préparer, d’une part, à l’élaboration des projets, et d’autre part, à devenir des structures accréditées auprès du Fonds vert pour le Climat.
A ce titre, ils pourront gérer les financements de microprojets tandis que les autres projets, de dimensions moyenne ou autres, seront gérés par les structures internationales accréditées par le fonds