L’objectif de ce conclave, organisé du 2 au 4 février 2018, est de permettre aux directeurs généraux et directeurs des entreprises et offices publics de réfléchir et d’échanger sur les questions qui intéressent le secteur parapublic en tant qu’un des maillons de l’économie de la République Centrafricaine.
Quelque 25 directeurs généraux et directeurs des entreprises et offices publics prennent part à ce conclave dont la méthodologie consiste pour chacun d’exposer la situation de sa société et de se soumettre aux critiques et amendements des autres.
Bertrand-Arthur Piri a exhorté les participants d’être réalistes au moment de faire un diagnostic de chaque entité et d'apporter des contributions innovantes pour l’année en cours.
Il a rappelé les nombreuses initiatives pour redresser la situation dramatique des entreprises et offices publics, et a signalé les menaces de fusion ou de privatisation qui pèsent sur certaines entités, conformément à la Loi n°96.007 du 13 janvier 1996.
Il s’agit de l’état des lieux du secteur en juillet 2016 à Bangui ; l’évaluation, en 2017, de la situation des entreprises et offices publics visant la correction des faiblesses et l’organisation d’un atelier pour aider à la gestion des structures du secteur, en rapport avec le contrôle général.
En août dernier, le Premier ministre Simplice-Mathieu Sarandji a même présidé une réunion portant, une fois de plus, sur les faiblesses du secteur parapublic. Les présidents des conseils d’administration de ces entités ont, un mois et demi plus tard, rencontré le contrôleur général pour débattre de la situation catastrophique des entreprises et offices publics.
De manière générale, la situation des entreprises et offices publics n'est pas reluisante. Le conclave de Boali s’inscrit donc dans le cadre de la déclaration d’investiture du Président Faustin-Archange Touadéra du 30 mars 2016 réclamant « la rentabilité et la performance des entreprises et offices publics afin de participer au relèvement économique du pays ».
Le Premier ministre Simplice-Mathieu Sarandji, lui, a insisté, devant l’Assemblée nationale sur la nécessité « d’une vaste réforme du secteur parapublic pour répondre aux missions qui incombent à chacun d’eux ».
Les entreprises et offices publics comprennent, entre autres, les secteurs de la boucherie, l’électricité, les télécommunications, les transports, les hydrocarbures, l’entretien routier, l’emploi des jeunes, l’hôtellerie, la sécurité sociale, les médicaments, les infrastructures sportives, l’informatique, la foresterie, l’eau, etc.
Quelque 25 directeurs généraux et directeurs des entreprises et offices publics prennent part à ce conclave dont la méthodologie consiste pour chacun d’exposer la situation de sa société et de se soumettre aux critiques et amendements des autres.
Bertrand-Arthur Piri a exhorté les participants d’être réalistes au moment de faire un diagnostic de chaque entité et d'apporter des contributions innovantes pour l’année en cours.
Il a rappelé les nombreuses initiatives pour redresser la situation dramatique des entreprises et offices publics, et a signalé les menaces de fusion ou de privatisation qui pèsent sur certaines entités, conformément à la Loi n°96.007 du 13 janvier 1996.
Il s’agit de l’état des lieux du secteur en juillet 2016 à Bangui ; l’évaluation, en 2017, de la situation des entreprises et offices publics visant la correction des faiblesses et l’organisation d’un atelier pour aider à la gestion des structures du secteur, en rapport avec le contrôle général.
En août dernier, le Premier ministre Simplice-Mathieu Sarandji a même présidé une réunion portant, une fois de plus, sur les faiblesses du secteur parapublic. Les présidents des conseils d’administration de ces entités ont, un mois et demi plus tard, rencontré le contrôleur général pour débattre de la situation catastrophique des entreprises et offices publics.
De manière générale, la situation des entreprises et offices publics n'est pas reluisante. Le conclave de Boali s’inscrit donc dans le cadre de la déclaration d’investiture du Président Faustin-Archange Touadéra du 30 mars 2016 réclamant « la rentabilité et la performance des entreprises et offices publics afin de participer au relèvement économique du pays ».
Le Premier ministre Simplice-Mathieu Sarandji, lui, a insisté, devant l’Assemblée nationale sur la nécessité « d’une vaste réforme du secteur parapublic pour répondre aux missions qui incombent à chacun d’eux ».
Les entreprises et offices publics comprennent, entre autres, les secteurs de la boucherie, l’électricité, les télécommunications, les transports, les hydrocarbures, l’entretien routier, l’emploi des jeunes, l’hôtellerie, la sécurité sociale, les médicaments, les infrastructures sportives, l’informatique, la foresterie, l’eau, etc.