"Ce n'est pas une cérémonie symbolique, peut-être solennelle, qui consacre la volonté politique des signataires de l'accord de Ouagadougou à marquer et à achever la réunification, à aller jusqu'au terme du processus de sortie de crise", a déclaré M. Soro, par ailleurs leader de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
Avec cette cérémonie officielle, reportée à plusieurs reprises depuis janvier, les préfets retrouvent leurs prérogatives pleines et entières, conformément à l'accord de Ouagadougou signé en mars 2007 par les ex-belligérants ivoiriens qui prévoient la réunification du pays.
"En ce jour, célébrons ce que nous devons célébrer, c'est à dire la restauration de l'administration territoriale", s'est exclamé le porte-parole des Forces nouvelles, Sidiki Konaté.
"L'événement est historique", a pour sa part relevé le ministre ivoirien de l'Intérieur, Désiré Tagro, avant d'annoncer la remise des charges de préfet de Bouaké à M. Konin Aka par le chef d'état-major des Forces armées des Forces nouvelles, Soumaïla Bakayoko.
Avec cette cérémonie officielle, reportée à plusieurs reprises depuis janvier, les préfets retrouvent leurs prérogatives pleines et entières, conformément à l'accord de Ouagadougou signé en mars 2007 par les ex-belligérants ivoiriens qui prévoient la réunification du pays.
"En ce jour, célébrons ce que nous devons célébrer, c'est à dire la restauration de l'administration territoriale", s'est exclamé le porte-parole des Forces nouvelles, Sidiki Konaté.
"L'événement est historique", a pour sa part relevé le ministre ivoirien de l'Intérieur, Désiré Tagro, avant d'annoncer la remise des charges de préfet de Bouaké à M. Konin Aka par le chef d'état-major des Forces armées des Forces nouvelles, Soumaïla Bakayoko.