Le comité mis en place mercredi 4 janvier 2012 en vue de proposer au gouvernement des axes d’actions se rapportant à l’impact de l’ajustement du prix à la pompe des produits pétroliers en République Centrafricaine sur le secteur des Transports avait regroupé les représentants de l’administration (Transports, Finances, Commerce, Energie) ainsi que les acteurs et partenaires du secteur des transports (affrètement routier, transport fluvial, conducteurs de taxis et bus).
A l’issue des travaux, le comité a décidé du maintien des anciens tarifs officiels en vigueur dans le secteur des Transports, savoir : 160 francs pour les taxis et 135 francs CFA pour les bus ; la sensibilisation de l’opinion en vue du paiement intégral de ces tarifs ; la levée des barrières illégales et la sanction des éléments des forces de défense et de sécurité responsables des tracasseries policières sur les voies publiques.
Le paiement par les conducteurs les conducteurs de taxis du certificat de capacité a été relancé, de même que les questions de la réfection des routes et le contrôle des prix ont été évoquées.
Des variables tels que la fragilité de l’économie ; le coût excessif du transport en République Centrafricaine ; la faiblesse du pouvoir d’achat de la population ; les tracasseries policières sur les routes ; la dégradation des routes ; le fractionnement des itinéraires par la plupart des conducteurs de taxis et bus ont guidé les décisions et recommandations des membres du comité.
A l’issue des travaux, le comité a décidé du maintien des anciens tarifs officiels en vigueur dans le secteur des Transports, savoir : 160 francs pour les taxis et 135 francs CFA pour les bus ; la sensibilisation de l’opinion en vue du paiement intégral de ces tarifs ; la levée des barrières illégales et la sanction des éléments des forces de défense et de sécurité responsables des tracasseries policières sur les voies publiques.
Le paiement par les conducteurs les conducteurs de taxis du certificat de capacité a été relancé, de même que les questions de la réfection des routes et le contrôle des prix ont été évoquées.
Des variables tels que la fragilité de l’économie ; le coût excessif du transport en République Centrafricaine ; la faiblesse du pouvoir d’achat de la population ; les tracasseries policières sur les routes ; la dégradation des routes ; le fractionnement des itinéraires par la plupart des conducteurs de taxis et bus ont guidé les décisions et recommandations des membres du comité.