
Le but de cette conférence débat est de sensibiliser les citoyens sur les conséquences néfastes des conflits armés et la nécessité d’inclure dans le système éducatif les notions des droits de l’homme.
Me Hyacinthe Gbiégba a expliqué que les groupes rebelles ont défié partout où ils passent l’autorité de l’Etat en occupant quelques préfectures de la République Centrafricaine, tuant les fils du pays, en commettant des atrocités énormes sur la paisible population, les produits agricoles sont ramassés au vu et au su de tout le monde, sans une réaction de peur que ces derniers ne perdent leur vie.
Pour le professeur Jérémie Doui, il y a 70 ans que la notion de droit de l’homme a vu le jour (le 10 décembre 1948), mais jusqu’aujourd’hui, il y a des personnes mal intentionnées qui ne respectent pas le droit de l’homme et qui font tout à leur guise.
Le coordonnateur du réseau des journalistes pour les droits de l’homme, Sylvestre Sokambi, qui intervenait sur «le traitement des informations par rapport à la situation des droits de l’homme », s’est demandé quand la presse va vulgariser les informations auprès des autorités pour qu’une solution soit trouvée ?
Il est à noter que ce débat a regroupé les journalistes des média publics et privés de Bangui.
Me Hyacinthe Gbiégba a expliqué que les groupes rebelles ont défié partout où ils passent l’autorité de l’Etat en occupant quelques préfectures de la République Centrafricaine, tuant les fils du pays, en commettant des atrocités énormes sur la paisible population, les produits agricoles sont ramassés au vu et au su de tout le monde, sans une réaction de peur que ces derniers ne perdent leur vie.
Pour le professeur Jérémie Doui, il y a 70 ans que la notion de droit de l’homme a vu le jour (le 10 décembre 1948), mais jusqu’aujourd’hui, il y a des personnes mal intentionnées qui ne respectent pas le droit de l’homme et qui font tout à leur guise.
Le coordonnateur du réseau des journalistes pour les droits de l’homme, Sylvestre Sokambi, qui intervenait sur «le traitement des informations par rapport à la situation des droits de l’homme », s’est demandé quand la presse va vulgariser les informations auprès des autorités pour qu’une solution soit trouvée ?
Il est à noter que ce débat a regroupé les journalistes des média publics et privés de Bangui.