Selon le Porte-parole de la MINUSCA, la question de violences à l’égard des femmes et des filles soutenue par le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio Guterres demeure fréquente à travers le monde est l’une des violations des droits humains la plus répandue.
Selon Vladimir Monteiro, le SG des Nations-Unies à travers son message a demandé à la MINUSCA de tout faire pour apporter une protection minutieuse et aussi une aide spécifique et socio-psychologique aux femmes et aux filles victimes de ce phénomène.
Il a réitéré que le Secrétaire Général des Nations-Unies, Antonio Guterres a lancé un message fort relatif à cette journée en ces termes « la violence à l’égard des femmes et des filles reste la violence des droits humains la plus répandue et la plus pressante qui soit à la fois des crimes odieux et une urgence de santé publique. Cette violence a de lourdes conséquences pour des millions de femmes et des filles partout dans le monde ».
Selon lui, la MINUSCA réaffirme son engagement à exécuter son mandat en toute impartialité dans le strict respect des valeurs de l’organisation des Nations-Unies en étroite coopération avec les institutions centrafricaines.
Le Porte-parole a fait aussi remarquer que les cas des droits de l’Homme sont en hausse de la période du 16 au 22 novembre à l’Ouham-Péndé où un incident attribué aux 3R aurait causé la mort d’au moins 12 civils.
Le Porte-parole de la force de la MINSCA, le Lieutenant-colonel Abdoul-Aziz Ouedraogo, a déclaré que la situation sécuritaire sur l’ensemble du territoire la semaine écoulée est relativement calme.
« Les 22 et 23 novembre, le chef d’Etat-major de la force, le général de brigade Stéphane Marchenoir s’est rendu dans le secteur ouest, précisément à Bossangoa et Paoua où il a rencontré les autorités de l’Ouham et de l’Ouham-Pendé, les représentants des FACA et des FSI », a ajouté le Porte-parole de la force.
Le Capitaine Mazalo Agba, Porte-parole de la police de la MINUSCA a soutenue que la semaine écoulée a été marquée par la visite, le 18 novembre à Bambari du chef de la composante police, le commissaire Christophe Bizimungou, du commandant de la force et du Directeur par intérim de l’Appui à la mission.
Elle a soulignée que le 20 novembre dernier, à Bangui, les équipes UNPOL de Bangui et l’unité de police constituée des éléments Rwandais ont appuyé les FSI pour la couverture sécuritaire de la rencontre du chef de l’Etat centrafricain avec les autorités locales, les chefs de quartiers et des villages des communes de Bangui, Bimbo et Bégoua.
Il est à noter que le Porte-parole de la MINSCA, a fait la situation de la pandémie de la COVID-19 au sein de la MINUSCA en date du 23 novembre 2021 qui se présente comme suit : Cas accumulés 884, cas guéris 860, cas actifs 6 et cas de décès 9.
Selon Vladimir Monteiro, le SG des Nations-Unies à travers son message a demandé à la MINUSCA de tout faire pour apporter une protection minutieuse et aussi une aide spécifique et socio-psychologique aux femmes et aux filles victimes de ce phénomène.
Il a réitéré que le Secrétaire Général des Nations-Unies, Antonio Guterres a lancé un message fort relatif à cette journée en ces termes « la violence à l’égard des femmes et des filles reste la violence des droits humains la plus répandue et la plus pressante qui soit à la fois des crimes odieux et une urgence de santé publique. Cette violence a de lourdes conséquences pour des millions de femmes et des filles partout dans le monde ».
Selon lui, la MINUSCA réaffirme son engagement à exécuter son mandat en toute impartialité dans le strict respect des valeurs de l’organisation des Nations-Unies en étroite coopération avec les institutions centrafricaines.
Le Porte-parole a fait aussi remarquer que les cas des droits de l’Homme sont en hausse de la période du 16 au 22 novembre à l’Ouham-Péndé où un incident attribué aux 3R aurait causé la mort d’au moins 12 civils.
Le Porte-parole de la force de la MINSCA, le Lieutenant-colonel Abdoul-Aziz Ouedraogo, a déclaré que la situation sécuritaire sur l’ensemble du territoire la semaine écoulée est relativement calme.
« Les 22 et 23 novembre, le chef d’Etat-major de la force, le général de brigade Stéphane Marchenoir s’est rendu dans le secteur ouest, précisément à Bossangoa et Paoua où il a rencontré les autorités de l’Ouham et de l’Ouham-Pendé, les représentants des FACA et des FSI », a ajouté le Porte-parole de la force.
Le Capitaine Mazalo Agba, Porte-parole de la police de la MINUSCA a soutenue que la semaine écoulée a été marquée par la visite, le 18 novembre à Bambari du chef de la composante police, le commissaire Christophe Bizimungou, du commandant de la force et du Directeur par intérim de l’Appui à la mission.
Elle a soulignée que le 20 novembre dernier, à Bangui, les équipes UNPOL de Bangui et l’unité de police constituée des éléments Rwandais ont appuyé les FSI pour la couverture sécuritaire de la rencontre du chef de l’Etat centrafricain avec les autorités locales, les chefs de quartiers et des villages des communes de Bangui, Bimbo et Bégoua.
Il est à noter que le Porte-parole de la MINSCA, a fait la situation de la pandémie de la COVID-19 au sein de la MINUSCA en date du 23 novembre 2021 qui se présente comme suit : Cas accumulés 884, cas guéris 860, cas actifs 6 et cas de décès 9.