Le Directeur général de CBCA, Yves Dessandé
Yves Dessandé a considéré qu'à l'inverse des pays producteurs de pétrole, la République Centrafricaine est plutôt " sur le chemin du relèvement grâce aux efforts consentis par les autorités, à la suite des élections ayant porté aux commandes de l’Etat le Président Faustin-Archange Touadéra", ajoutant que "la croissance du pays s'est sensiblement améliorée".
Il a également mis en exergue « les promesses faites par les partenaires financiers et techniques du pays lors de la conférence des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine à Bruxelles, en Belgique, en novembre dernier ».
Il est toutefois revenu sur le cas des pays producteurs de pétrole, soulignant que « ces pays rencontrent d’énormes difficultés liées à la baisse des cours du pétrole et cela est perceptible à trois niveaux qui sont : la baisse de la croissance, qui est passé de 5% il y a deux ans à 1% actuellement ; l’augmentation du déficit budgétaire des pays de la zone CEMAC ; enfin, la réduction des réserves de change".
Le Directeur général de CBCA a apprécié à sa juste valeur l’initiative du gouvernement de la BEAC de rassembler des personnalités de haut niveau pour réfléchir sur des solutions appropriées se rapportant à la politique monétaire et budgétaire en vue d’atténuer les chocs issues surtout de la baisse des cours du baril du pétrole.
Il a insisté sur l’accompagnement des pays de la zone CEMAC par la Banque centrale et les partenaires techniques dans le but d’améliorer les réponses destinées à atténuer les chocs exogènes en prenant en compte les précautions liées aux politiques monétaires et budgétaires.
L’objectif de cette réunion de haut, qui a regroupé des gouverneurs des banques centrales d’Afrique et d’ailleurs, de hautes personnalités des organisations financières internationales, des universitaires et les représentants des 52 banques des pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) est de réfléchir sur des solutions innovantes aux crises auxquels sont exposés pays de la zone.
Il a également mis en exergue « les promesses faites par les partenaires financiers et techniques du pays lors de la conférence des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine à Bruxelles, en Belgique, en novembre dernier ».
Il est toutefois revenu sur le cas des pays producteurs de pétrole, soulignant que « ces pays rencontrent d’énormes difficultés liées à la baisse des cours du pétrole et cela est perceptible à trois niveaux qui sont : la baisse de la croissance, qui est passé de 5% il y a deux ans à 1% actuellement ; l’augmentation du déficit budgétaire des pays de la zone CEMAC ; enfin, la réduction des réserves de change".
Le Directeur général de CBCA a apprécié à sa juste valeur l’initiative du gouvernement de la BEAC de rassembler des personnalités de haut niveau pour réfléchir sur des solutions appropriées se rapportant à la politique monétaire et budgétaire en vue d’atténuer les chocs issues surtout de la baisse des cours du baril du pétrole.
Il a insisté sur l’accompagnement des pays de la zone CEMAC par la Banque centrale et les partenaires techniques dans le but d’améliorer les réponses destinées à atténuer les chocs exogènes en prenant en compte les précautions liées aux politiques monétaires et budgétaires.
L’objectif de cette réunion de haut, qui a regroupé des gouverneurs des banques centrales d’Afrique et d’ailleurs, de hautes personnalités des organisations financières internationales, des universitaires et les représentants des 52 banques des pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) est de réfléchir sur des solutions innovantes aux crises auxquels sont exposés pays de la zone.