Les participants ont recommandé entre autres, au gouvernement, d’augmenter les budgets nationaux et faire le plaidoyer pour mobiliser d’avantage de financement en faveur de l’éducation, la santé maternelle et pour la lutte contre les inégalités du genre, d’assurer la protection des femmes par la révision où l’adoption des lois nationales conformément aux engagements pris dans le cadre de la conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), les objectifs du développement durable (ODD) et l’agenda 2030.
« Promouvoir l’éducation sexuelle complète pour l’amélioration des connaissances des populations sur les droits humains et pour éviter aux jeunes d’adopter des comportements à risque pour leurs survies, étendre le décret de gratuité des soins et veiller à son application sur toute l’étendue du territoire », ont poursuivi les participants.
Rappelons que huit thématiques ont été débattues lors des travaux du symposium, dont entre autres le problématique des violences basées sur le genre/violences sexuelles liées au conflit, l’autonomisation socio-économique des femmes en Afrique, l’éducation sexuelle des jeunes et la santé maternelle, la participation et leadership des femmes et filles dans les instances de prise de décision en Afrique : de la destruction à la reconstitution pour le développement durable du pays.
Au terme de ce symposium sur la réflexion transfrontalière sur le statut de la femme à la veille de la célébration de CIPD@30, le Président de la République Faustin Archange Touadéra, a félicité tous les participants pour leurs contributions pertinentes qui permettront de faire progresser la cause de la femme et de l’enfant dans le continent africain et plus particulièrement en République Centrafricaine
« A la lumière de la lecture de la déclaration et des recommandations, j’affirme que l’égalité de genre est le socle de toute action en matière de la construction de la résilience, de la paix et du développement durable », a soutenu le Champion du genre.
Saisissant cette occasion, le Chef d’Etat a renouvelé l’engagement du gouvernement centrafricain envers tous les efforts visant à remédier aux inégalités du genre, à la violence basée sur le genre (VBG), aux pratiques traditionnelles néfastes en particulier les mutilations génitales et les mariages d’enfants et il a instruit le gouvernement de prendre en compte les recommandations qui ont été formulées et de veiller à leurs mises en œuvre pour le bien-être des femmes et des enfants
Pour en finir, le Président Touadéra a alloué de l’importance à l’agenda inachevé de la CIPD, et il a réaffirmé la volonté de la République Centrafricaine à respecter les engagements pris à Nairobi pour accélérer les promesses de 1994, notamment auprès des filles et des femmes.
L’une des participants, Alice Ndjoka Pungu Shembo, venue de la République Démocratique du Congo, a salué l’initiative qui a permis la représentation de plusieurs pays et ensemble, ils ont eu le temps d’apprécier l’implication politique de la République Centrafricaine sur les questions liées à la planification familiale, les violences sexuelles basées sur le genre et la mortalité maternelle.
Signalons que le Président de la République Centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra, par la même occasion a lancé le rapport sur l’état de la population mondiale en 2023 en République Centrafricaine.
« Promouvoir l’éducation sexuelle complète pour l’amélioration des connaissances des populations sur les droits humains et pour éviter aux jeunes d’adopter des comportements à risque pour leurs survies, étendre le décret de gratuité des soins et veiller à son application sur toute l’étendue du territoire », ont poursuivi les participants.
Rappelons que huit thématiques ont été débattues lors des travaux du symposium, dont entre autres le problématique des violences basées sur le genre/violences sexuelles liées au conflit, l’autonomisation socio-économique des femmes en Afrique, l’éducation sexuelle des jeunes et la santé maternelle, la participation et leadership des femmes et filles dans les instances de prise de décision en Afrique : de la destruction à la reconstitution pour le développement durable du pays.
Au terme de ce symposium sur la réflexion transfrontalière sur le statut de la femme à la veille de la célébration de CIPD@30, le Président de la République Faustin Archange Touadéra, a félicité tous les participants pour leurs contributions pertinentes qui permettront de faire progresser la cause de la femme et de l’enfant dans le continent africain et plus particulièrement en République Centrafricaine
« A la lumière de la lecture de la déclaration et des recommandations, j’affirme que l’égalité de genre est le socle de toute action en matière de la construction de la résilience, de la paix et du développement durable », a soutenu le Champion du genre.
Saisissant cette occasion, le Chef d’Etat a renouvelé l’engagement du gouvernement centrafricain envers tous les efforts visant à remédier aux inégalités du genre, à la violence basée sur le genre (VBG), aux pratiques traditionnelles néfastes en particulier les mutilations génitales et les mariages d’enfants et il a instruit le gouvernement de prendre en compte les recommandations qui ont été formulées et de veiller à leurs mises en œuvre pour le bien-être des femmes et des enfants
Pour en finir, le Président Touadéra a alloué de l’importance à l’agenda inachevé de la CIPD, et il a réaffirmé la volonté de la République Centrafricaine à respecter les engagements pris à Nairobi pour accélérer les promesses de 1994, notamment auprès des filles et des femmes.
L’une des participants, Alice Ndjoka Pungu Shembo, venue de la République Démocratique du Congo, a salué l’initiative qui a permis la représentation de plusieurs pays et ensemble, ils ont eu le temps d’apprécier l’implication politique de la République Centrafricaine sur les questions liées à la planification familiale, les violences sexuelles basées sur le genre et la mortalité maternelle.
Signalons que le Président de la République Centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra, par la même occasion a lancé le rapport sur l’état de la population mondiale en 2023 en République Centrafricaine.