Les impétrants ont obtenu par ordre de mérite, la moyenne et les appréciations suivantes : Yandji Blaise 17,5/20 avec mention très bien. Zamago gbango Joachim d’Assise 15,5/20 avec mention bien. Et enfin, Balafoundi Germain 14,5/20 avec mention bien.
« L’Université de Bangui a compris cet exercice, ce sont les mêmes règles dans les thèses de doctorat. Les trois candidats ont été à la hauteur ».a apprécié le Pr. Abraham Constant Ndinga-Mbo de l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville au Congo.
« Un évènement de ce genre donne une visibilité à l’Université de Bangui, car, elle est en train d’évoluer dans le sens du droit ».a fait savoir le Recteur de l’Université de Bangui Gustave Bobossi Séréngbé.
Il a proposé qu’ à l’issu du travail bien fait et l’obtention des diplômes, les articles de chaque impétrant doivent paraitre sous forme d’exercices, en participant aux enseignements des professeurs pour animer les travaux pratiques et travaux dirigés, tout en réorganisant l’enseignement d’Histoire dans les établissements secondaires.
« L’Histoire n’est pas la lecture paginée des cours, mais c’est la recherche. C’est une activité qui doit faire nourrir les étudiants, car, si les historiens se mettent à parler il y a l’Histoire, s’ils ne parlent pas, elle est morte », a –t-il poursuivi.
Le Doyen de la faculté des Lettres et Sciences Humaines, Anicet Clément GUIYAMA Massogo a indiqué que la faculté des Lettres et Sciences Humaines est entrée dans le système Licence Master Doctorat (LMD) depuis 2005, le département d’Histoire a ouvert le Master 2 en Civilisations et Histoire.
Il a exhorté les impétrants à ne pas rester dans l’autosatisfaction, car, il y a du travail encore à faire, c’est d’être postulants au doctorat parce que le Master 2 lance un appel au travail du 3ème cycle et c’est à ce niveau que l’université prépare les cadres de haut niveau.
« L’Université de Bangui a compris cet exercice, ce sont les mêmes règles dans les thèses de doctorat. Les trois candidats ont été à la hauteur ».a apprécié le Pr. Abraham Constant Ndinga-Mbo de l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville au Congo.
« Un évènement de ce genre donne une visibilité à l’Université de Bangui, car, elle est en train d’évoluer dans le sens du droit ».a fait savoir le Recteur de l’Université de Bangui Gustave Bobossi Séréngbé.
Il a proposé qu’ à l’issu du travail bien fait et l’obtention des diplômes, les articles de chaque impétrant doivent paraitre sous forme d’exercices, en participant aux enseignements des professeurs pour animer les travaux pratiques et travaux dirigés, tout en réorganisant l’enseignement d’Histoire dans les établissements secondaires.
« L’Histoire n’est pas la lecture paginée des cours, mais c’est la recherche. C’est une activité qui doit faire nourrir les étudiants, car, si les historiens se mettent à parler il y a l’Histoire, s’ils ne parlent pas, elle est morte », a –t-il poursuivi.
Le Doyen de la faculté des Lettres et Sciences Humaines, Anicet Clément GUIYAMA Massogo a indiqué que la faculté des Lettres et Sciences Humaines est entrée dans le système Licence Master Doctorat (LMD) depuis 2005, le département d’Histoire a ouvert le Master 2 en Civilisations et Histoire.
Il a exhorté les impétrants à ne pas rester dans l’autosatisfaction, car, il y a du travail encore à faire, c’est d’être postulants au doctorat parce que le Master 2 lance un appel au travail du 3ème cycle et c’est à ce niveau que l’université prépare les cadres de haut niveau.