« La révision des textes organiques de la CNDH en conformité avec les principes de Paris, est la volonté politique du gouvernement à doter le pays, d’une institution nationale de promotion et de protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales, indépendante, efficace, crédible et légitime », a déclaré le ministre Désiré Zanga Kolingba.
L’un des participants, l’Abbé Albert Tounguomalé-Baba a souligné que « nous ne pouvons que louer l’initiative du gouvernement centrafricain de se doter d’une Commission Nationale des Droits de l’Homme et des liberté fondamentales ».
« Si le gouvernement sait que dans son Etat, tous les hommes vivent en jouissant les mêmes droits, si les citoyens également sont conscients, qu’ils ont des droits et qu’ils doivent être protégés et défendus, nous pensons que personne ne détournera de l’intérêt de cette institution nationale », a conclu l’Abbé.
Il est à noter que cet atelier de validation a bénéficié de l’expertise des participants venant de Genève, du Cameroun et du Kenya, dont l’objectif consistait à recueillir l’expertise de toutes les couches sociales représentées par rapport aux principes de Paris et aux normes internationales.
Il est à rappeler que l’atelier de validation de la loi portant révision des textes organiques de la Commission Nationale des Droits de l’Homme en Centrafrique, est organisé par le Haut Commissariat des Droits de l’Homme et de la Bonne Gouvernance avec l’appui technique et financier du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique (BINUCA) et Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
L’un des participants, l’Abbé Albert Tounguomalé-Baba a souligné que « nous ne pouvons que louer l’initiative du gouvernement centrafricain de se doter d’une Commission Nationale des Droits de l’Homme et des liberté fondamentales ».
« Si le gouvernement sait que dans son Etat, tous les hommes vivent en jouissant les mêmes droits, si les citoyens également sont conscients, qu’ils ont des droits et qu’ils doivent être protégés et défendus, nous pensons que personne ne détournera de l’intérêt de cette institution nationale », a conclu l’Abbé.
Il est à noter que cet atelier de validation a bénéficié de l’expertise des participants venant de Genève, du Cameroun et du Kenya, dont l’objectif consistait à recueillir l’expertise de toutes les couches sociales représentées par rapport aux principes de Paris et aux normes internationales.
Il est à rappeler que l’atelier de validation de la loi portant révision des textes organiques de la Commission Nationale des Droits de l’Homme en Centrafrique, est organisé par le Haut Commissariat des Droits de l’Homme et de la Bonne Gouvernance avec l’appui technique et financier du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique (BINUCA) et Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
