Organisé par le fonds des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), cet atelier qui regroupe les pêcheurs, les pisciculteurs, les autorités locales et Administratives, vise à sensibiliser et faire comprendre aux participants l’importance du syndrome ulcératif, épisodique des poissons.
Pour Me Jean Archange Batty Gonda, Coordonnateur et chargé du projet d’investigation, de riposte, et d’alerte, "cette maladie est un genre de champignon qui s’articule autour des poissons et crée des lésions nécrotiques sur la peau des animaux aquatiques du bassin de l’Oubangui, de la Sangha-Mbaéré, de la Mambéré Kadéï et qualifié d’épisodique".
« Nous allons pouvoir mettre en application des mesures de sécurité pour éradiquer de manière systématique la propagation de cette épidémie car cette maladie, il faut le rappeler, n’est pas transmissible à l’homme. On peut très bien cuire ces poissons et les consommer", a-t-il souligné.
"Les pêcheurs quant à eux doivent ramasser les poissons morts ou maladifs ou pourries, les jeter hors des cours d’eau ou les enterrer afin d’éviter la propagation à d'autres poissons », a ajouté jean archange Batty Gonda.
Madame Zara Sissoko, vendeuse de poisson ayant pris part à cet atelier a affirmé qu’elle fera de son mieux pour mettre en pratique les acquis de cet atelier afin de préserver l'environnement et les cours d’eau pour le bien-être de la population.
Pour Me Jean Archange Batty Gonda, Coordonnateur et chargé du projet d’investigation, de riposte, et d’alerte, "cette maladie est un genre de champignon qui s’articule autour des poissons et crée des lésions nécrotiques sur la peau des animaux aquatiques du bassin de l’Oubangui, de la Sangha-Mbaéré, de la Mambéré Kadéï et qualifié d’épisodique".
« Nous allons pouvoir mettre en application des mesures de sécurité pour éradiquer de manière systématique la propagation de cette épidémie car cette maladie, il faut le rappeler, n’est pas transmissible à l’homme. On peut très bien cuire ces poissons et les consommer", a-t-il souligné.
"Les pêcheurs quant à eux doivent ramasser les poissons morts ou maladifs ou pourries, les jeter hors des cours d’eau ou les enterrer afin d’éviter la propagation à d'autres poissons », a ajouté jean archange Batty Gonda.
Madame Zara Sissoko, vendeuse de poisson ayant pris part à cet atelier a affirmé qu’elle fera de son mieux pour mettre en pratique les acquis de cet atelier afin de préserver l'environnement et les cours d’eau pour le bien-être de la population.