L’objectif de cette formation, Co organisé par l’état-major des armées et les EFG est de former du personnel qualifié pouvant travailler en toute sécurité sur l’enlèvement et la destruction des munitions tirées et non explosées en République Centrafricaine.
La spécialité de destruction de munitions et explosifs est une chose importante pour un pays en sortie de crise, a indiqué le colonel Yves Depit, attaché de défense à l’Ambassade de France.
« C’est l’opportunité, dans le cadre du plan national de défense, de remettre en place ce détachement spécifique dans les forces armées centrafricaines (FACA). Nous travaillons pour l’instant sur le bataillon du génie dans le cadre de la reconstruction de l’armée et l’intégrité du pays ; nous travaillons surtout avec les unités qui ont l’opportunité d’être au contact avec la population et de la préserver », a-t-il insisté.
Le chef de mission EFG, l’Adjudant Ibrahima, a fait remarquer que ce recyclage d’un mois permet à ces éléments du génie de mettre à jour leurs connaissances et leurs qualifications car les techniques d’intervention évoluent.
L’un des récipiendaires, l’adjudant Grengou, se réjouit de ce stage : « j’éprouve un sentiment de joie, ce stage vient renforcer mes capacités en tant que élément opérationnel de déminage et de dépollution. Je mettrai ces connaissances acquises à la disposition de l’armée et surtout au profit de la population centrafricaine, en général ».
Cette remise d’attestions intervient une semaine après celle du bataillon amphibie où les éléments français du Gabon les ont formés sur le dépannage et le pilotage des embarcations (zodiac).
Notons que le 8 février dernier, une dizaine d’éléments des FACA ont obtenu leur attestation en déminage et magasinier munition sur financement du service anti-mine des Nations-unies (UNMAS), lors d’une cérémonie suivie de la remise officielle de conteneurs armureries sécurisés aux FACA par l’UNMAS.
Soumise à un embargo sur les armes instauré par l'ONU en 2013, l'armée centrafricaine est en phase de reconstruction depuis avril 2016 avec l'appui, entre autres, d'une mission de l'Union européenne dénommée EUTM-RCA.
La spécialité de destruction de munitions et explosifs est une chose importante pour un pays en sortie de crise, a indiqué le colonel Yves Depit, attaché de défense à l’Ambassade de France.
« C’est l’opportunité, dans le cadre du plan national de défense, de remettre en place ce détachement spécifique dans les forces armées centrafricaines (FACA). Nous travaillons pour l’instant sur le bataillon du génie dans le cadre de la reconstruction de l’armée et l’intégrité du pays ; nous travaillons surtout avec les unités qui ont l’opportunité d’être au contact avec la population et de la préserver », a-t-il insisté.
Le chef de mission EFG, l’Adjudant Ibrahima, a fait remarquer que ce recyclage d’un mois permet à ces éléments du génie de mettre à jour leurs connaissances et leurs qualifications car les techniques d’intervention évoluent.
L’un des récipiendaires, l’adjudant Grengou, se réjouit de ce stage : « j’éprouve un sentiment de joie, ce stage vient renforcer mes capacités en tant que élément opérationnel de déminage et de dépollution. Je mettrai ces connaissances acquises à la disposition de l’armée et surtout au profit de la population centrafricaine, en général ».
Cette remise d’attestions intervient une semaine après celle du bataillon amphibie où les éléments français du Gabon les ont formés sur le dépannage et le pilotage des embarcations (zodiac).
Notons que le 8 février dernier, une dizaine d’éléments des FACA ont obtenu leur attestation en déminage et magasinier munition sur financement du service anti-mine des Nations-unies (UNMAS), lors d’une cérémonie suivie de la remise officielle de conteneurs armureries sécurisés aux FACA par l’UNMAS.
Soumise à un embargo sur les armes instauré par l'ONU en 2013, l'armée centrafricaine est en phase de reconstruction depuis avril 2016 avec l'appui, entre autres, d'une mission de l'Union européenne dénommée EUTM-RCA.