Ce réseau aurait pour objectifs de mobiliser les moyens nécessaires au renforcement des capacités des médias de la sous-région en ce qui concerne les compétences et la responsabilité des journalistes dans le traitement des questions électorales et des droits de l'Homme.
Dans la foulée, les séminaristes ont désigné M. Lambert Ngouanfo du Cameroun et Marie Christine Matondo du Congo Brazzaville comme coordonnateur et coordonnatrice adjointe afin de préparer les textes de base et la mise en place d’un bureau censé animer le réseau.
S’adressant aux participants, à l’issue de leurs travaux, la représentante régionale du Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et des élections, Mme Maarit Kohonen Shériff,a souligné la lourde responsabilité des médias, qui par leur travail sont en première ligne de la défense des droits de l’Homme.
« on ne peut pas couvrir les élections sans connaître les obligations des gouvernements en matière des droits de l’Homme », a-t-elle relevé, précisant que cela permettrait d’approfondir les analyses.
Elles a enfin attiré leur attention Il leur attention sur la nécessité de ne pas oublier l’approche genre dans leur travail ainsi que l’impératif de réfléchir en amont aux mécanismes de leur propre protection.
Organisé par le Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et des élections, ce séminaire a regroupé une trentaine de professionnels des médias du Burundi, du Cameroun, du Gabon, du Rwanda, de Sao Tomé, de la Guinée Equatoriale et de la République Centrafricaine.
Dans la foulée, les séminaristes ont désigné M. Lambert Ngouanfo du Cameroun et Marie Christine Matondo du Congo Brazzaville comme coordonnateur et coordonnatrice adjointe afin de préparer les textes de base et la mise en place d’un bureau censé animer le réseau.
S’adressant aux participants, à l’issue de leurs travaux, la représentante régionale du Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et des élections, Mme Maarit Kohonen Shériff,a souligné la lourde responsabilité des médias, qui par leur travail sont en première ligne de la défense des droits de l’Homme.
« on ne peut pas couvrir les élections sans connaître les obligations des gouvernements en matière des droits de l’Homme », a-t-elle relevé, précisant que cela permettrait d’approfondir les analyses.
Elles a enfin attiré leur attention Il leur attention sur la nécessité de ne pas oublier l’approche genre dans leur travail ainsi que l’impératif de réfléchir en amont aux mécanismes de leur propre protection.
Organisé par le Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et des élections, ce séminaire a regroupé une trentaine de professionnels des médias du Burundi, du Cameroun, du Gabon, du Rwanda, de Sao Tomé, de la Guinée Equatoriale et de la République Centrafricaine.