Charles Armel Doubane a défini la diplomatie comme une partie de la politique qui concerne les relations entre les Etats, qui porte sur la représentation des intérêts d’un gouvernement à l’étranger, l’administration des affaires internationales, la direction et l’exécution de négociation entre les Etats qui peut se matérialiser à travers les ambassades, les consulats ou les délégations.
Il a développé que la diplomatie est reposée sur trois principes à savoir l’universalité de la communauté des nations, la responsabilité collective des Nations-Unies pour le maintien de la paix et la lutte contre les agressions, et la reconnaissance des Nations-Unies comme lieux par excellence de régler tous les problèmes de manière pacifique.
Le diplomate a souligné que la diplomatie est diverse et pousse à arriver à la coopération internationale qui n’est que des attentes faites pour essayer d’atteindre des objectifs communs en mutualisant des moyens, elle peut être bilatérale, multilatérale, sous régionale et régionale.
De ce fait, Charles Armel Doubane a considéré le développement comme l’aboutissement d’une prise de conscience nationale conduisant à un bien-être social. Le conférencier a rappelé que la République Centrafricaine n’a pas pu s’épanouir parce que tout découlait des accords qui ont été signés entre les anciens colonisateurs et les jeunes états.
La RCA reste le seul Etat francophone africain qui jusque-là, n’a pas encore révisé ces accords entre Bangui et Paris.
« Face à ce rappel historique et si la République Centrafricaine veut sortir de sa situation, elle doit avoir une vision claire qui n’est pas une vision de la CEMAC ou de la CEAC », a conclu le conférencier.
Signalons que cet exposé a été suivi par des débats très enrichissants entre l’ancien ministre des Affaires étrangères et les conseillers économiques et sociaux.
Il a développé que la diplomatie est reposée sur trois principes à savoir l’universalité de la communauté des nations, la responsabilité collective des Nations-Unies pour le maintien de la paix et la lutte contre les agressions, et la reconnaissance des Nations-Unies comme lieux par excellence de régler tous les problèmes de manière pacifique.
Le diplomate a souligné que la diplomatie est diverse et pousse à arriver à la coopération internationale qui n’est que des attentes faites pour essayer d’atteindre des objectifs communs en mutualisant des moyens, elle peut être bilatérale, multilatérale, sous régionale et régionale.
De ce fait, Charles Armel Doubane a considéré le développement comme l’aboutissement d’une prise de conscience nationale conduisant à un bien-être social. Le conférencier a rappelé que la République Centrafricaine n’a pas pu s’épanouir parce que tout découlait des accords qui ont été signés entre les anciens colonisateurs et les jeunes états.
La RCA reste le seul Etat francophone africain qui jusque-là, n’a pas encore révisé ces accords entre Bangui et Paris.
« Face à ce rappel historique et si la République Centrafricaine veut sortir de sa situation, elle doit avoir une vision claire qui n’est pas une vision de la CEMAC ou de la CEAC », a conclu le conférencier.
Signalons que cet exposé a été suivi par des débats très enrichissants entre l’ancien ministre des Affaires étrangères et les conseillers économiques et sociaux.