Le lieutenant colonel Ndoutingaï a fait cette déclaration lors d’une audience accordée à une délégation du Fonds Monétaire International (FMI), en mission à Bangui, en présence du représentant résident de ladite institution, M. Joseph Ntamatungiro.
Le but de cette rencontre est de discuter du problème de sécurisation de l’électricité centrafricaine, de l’élaboration et de la révision du code minier de la République Centrafricaine par les experts de la Banque Mondiale et certains investisseurs internationaux, dans le but de le conformer aux normes internationales.
Au sortir de l’audience, Sylvain Ndountingai a déploré le fait que la République centrafricaine n’ait pas encore reçu les pièces de rechange destinées aux 2 centrales hydroélectriques de Boali et pour lesquelles le gouvernement a signé avec l’Agence Française de Développement (AFD) une convention de 4 millions d’euros.
Il a en conséquence demandé aux bailleurs de fonds d’intervenir d’urgence afin de réduire la durée du processus d’évacuation de ce don en matériels afin de permettre à la République Centrafricaine de trouver une solution au problème d’électricité que connaît actuellement le pays.
« Nous sommes là pour donner des conseils au gouvernement centrafricain et aussi pour discuter de la situation économique et du programme d’appui dans le secteur minier prévu pour cette année et l’année prochaine », a déclaré de son côté le chef de la mission du FMI, M. Martin Petri.
Le but de cette rencontre est de discuter du problème de sécurisation de l’électricité centrafricaine, de l’élaboration et de la révision du code minier de la République Centrafricaine par les experts de la Banque Mondiale et certains investisseurs internationaux, dans le but de le conformer aux normes internationales.
Au sortir de l’audience, Sylvain Ndountingai a déploré le fait que la République centrafricaine n’ait pas encore reçu les pièces de rechange destinées aux 2 centrales hydroélectriques de Boali et pour lesquelles le gouvernement a signé avec l’Agence Française de Développement (AFD) une convention de 4 millions d’euros.
Il a en conséquence demandé aux bailleurs de fonds d’intervenir d’urgence afin de réduire la durée du processus d’évacuation de ce don en matériels afin de permettre à la République Centrafricaine de trouver une solution au problème d’électricité que connaît actuellement le pays.
« Nous sommes là pour donner des conseils au gouvernement centrafricain et aussi pour discuter de la situation économique et du programme d’appui dans le secteur minier prévu pour cette année et l’année prochaine », a déclaré de son côté le chef de la mission du FMI, M. Martin Petri.